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N°30 - janvier 1999

SOMMAIRE
Les débats de l'assemblée générale
Un label langue française
Changer l'appellation de l'association
Si on gardait notre appelation...
Revues disponibles

À lire ...
Manifestations
Sites internet ...

 Les débats de l'assemblée générale

Outre les débats traditionnels d’une assemblée générale consacrés aux rapports d’activité et de trésorerie, le Conseil a souhaité concentrer les débats du rapport d’orientation autour de cinq thèmes :

  • - la transposition en droit français de la Directive européenne sur la protection des données,
    - la problématique de labélisation des logiciels respectant la langue française,
    - la francophonie,
    - le changement de développement du sigle,
    - les logiciels libres et " Linux ".
  • La transposition de la directive

    Dans la droite de ligne des réflexions et actions engagées par l’AILF sur le thème " Informatique et Libertés " notamment dans le cadre du collectif " Informatique, fichiers et citoyenneté ", 1999 va voir un débat au Parlement sur une refonte de la loi " Informatique et libertés " de 1978 en fonction de la transposition d’une directive européenne sur le sujet.

    La bataille actuellement menée sur la limitation de l’utilisation d’un " identifiant signifiant unique " (le numéro de sécurité sociale) est l’un des enjeux de cette évolution, comme la priorité au contrôle a posteriori de la CNIL, la composition de cette Commission, la définition des données sensibles, l’ouverture à la société civile, la transparence des dispositions prises, les conditions du débat public sur des questions sensibles, …

    Un label langue française

    Suite à la mission effectuée à l’Office de la langue française (OLF) au Québec en décembre 1998, il convient de préciser notre engagement dans le projet de labélisation des logiciels. L’équipe de projet de l’OLF a créé une grille d’évaluation, maintenant nous devons proposer un plan d’action à la DGLF pour l’année 1999 pour une coopération franco-québécoise.

    La francophonie

    Il nous faut prolonger le travail effectué sur le respect de la langue française (travaux sur la terminologie notamment), vers l’utilisation des TIC comme moyen de diffusion du patrimoine francophone, culturel et technique, et approfondir notre réflexion et nos apports sur le plurilinguisme. Notre participation aux travaux de l’AFNOR sur ces questions, est l’une des sources de réflexion.

    Une mise en perspective de notre problématique en fonction des quatre axes du Sommet d’Hanoï - Espace de liberté et de démocratie ; Espace de savoirs et de progrès ; Économie et développement ; Culture et communication – guidera la formalisation de nos actions et permettra de préciser avec quelles autres structures nous pourrions les mener.

    Le développé du sigle AILF

    L’opportunité de modifier le développé du sigle de notre association est évoquée. Ci-après deux points de vue vous sont présentés de façon à susciter le débat.

    Les logiciels libres et " Linux "

    Un logiciel libre est un logiciel qui comprend à la fois le logiciel applicatif et le code source. C’est-à-dire qu’un professionnel de l’informatique possède l’ensemble des éléments qui lui permettent de maîtriser la maintenance du produit qui lui est confié. Cette modalité est tout à fait opposée à celle des éditeurs habituels de logiciels qui ne fournissent pas le code source car c’est l’une des manières de conserver une source de revenu en fonction des versions successives qu’ils peuvent proposer à leurs clients.

    L’existence et la diffusion de ces logiciels libres est également une manière de battre en brèche des positions monopolistiques ou de quasi standard de fait comme les produits bureautiques de Microsoft.

    Sur le plan de la stratégie économique, il serait intéressant d’analyser les soutiens apportés par des concurrents de Microsoft notamment à l’un des produits libres " phares " qui est Linux, une version spécifique d’Unix.

    Sur le plan des utilisateurs, il faudrait analyser les facilités d’usage des produits notamment bureautiques qui fonctionnent sous Linux, ainsi que les possibilités de transfert de format de fichiers entre les différents systèmes d’exploitation : Unix, Linux, MS-Dos, Mac-OS, OS2, Windows 98, …

    Une problématique de ces logiciels libres est à formaliser et par exemple, la conception de formats pivots véritablement universels pour les traitements de texte, tableurs, base de données, images, …, ou encore l’ergonomie des interfaces homme-machine des outils bureautiques, en sont certainement des enjeux centraux.

    Karl Crochart

     Un label langue française

    La DGLF nous a confié une mission à l'Office de la langue française (OLF) au Québec qui s'inscrit dans le projet de coopération franco-québécois initié par les ministres de la culture de France et du Québec en 1997.

    Dès cette date l'OLF a créé une équipe de projet chargée de définir une méthode d'évaluation des outils, des logiciels et des systèmes informatiques pour déterminer leur capacité à traiter correctement la langue française. Il s'agit de vérifier que l'intégralité des caractéristiques exigées par l'expression du français, aspects linguistiques et culturels, soient prises en compte par les produits informatiques dans leur version française. Cette équipe a constitué une première grille d'évaluation et l'a testée selon des catégories de produits.

    Le contexte québécois

    Ce projet de l'OLF répond tant aux besoins québécois qu'aux orientations de coopération internationale. En effet, la Charte de la langue française en vigueur au Québec justifie des fins propres à l'OLF qui sont complémentaires d'une action dans le contexte francophone. Cette action pourrait être conduite au sein du RIOFIL (Réseau International des Observatoires Francophones pour les Inforoutes et le Traitement Informatique des Langues).

    La charte de la langue française est une déclaration de principes complétée par des articles pour exécuter ses principes. Elle établit le statut de la langue française, langue officielle du Québec. Elle définit les droits linguistiques fondamentaux dans le domaine des communications, du travail, du commerce et des affaires, ces droits s'imposent aux administrations comme aux entreprises. Elle détermine le processus de francisation des entreprises qui a comme objet de changer les comportements linguistiques dans l'entreprise privée par réglementation . Cette volonté de généraliser l'utilisation du français s'adapte aux exigences du contexte économique : structures internationales, besoins organisationnels,…

    Le projet BÉTEL

    L'état des travaux réalisés est disponible sur le site internet de l'OLF, http://www.olf.gouv.qc.ca/TIF/Betel/index.html, le " banc d'évaluation techno-linguistique " propose la grille d'évaluation, le guide d'utilisation et les évaluations réalisées.

    La grille d'évaluation se compose d'un profil linguistique général du produit, d'une évaluation techno-linguistique du respect du français, d'une évaluation de la qualité linguistique de la documentation, d'une appréciation de conformité à la Charte.

    Le profil linguistique prend en compte la présentation du produit (emballage, support physique, conditions de téléchargement), le processus d'installation (dialogue, aide, licence…), le fonctionnement (menus, messages d'erreur, aide en ligne, noms de fichiers, assistants…)

    L'évaluation techno-linguistique prend en compte l'installation du produit (langue de l'environnement de travail) et le support de la langue (saisie des caractères alphabétiques, signes diacritiques, …, ligatures ; et lecture, enregistrement, impression, recherche, tri de ceux-ci)

    L'équipe BÉTEL a déjà évalué certaines catégories de produits : les navigateurs (Internet Explorer 4.71.1712.6 et Netscape Communicator 4.03), les logiciels de courrier électronique version client (Eudora Pro V.3.0.1, Outlook 97, Outlook Express V.4.72.2106.4, Messenger V.4.0), le système d'exploitation Windows 98 version de mise à jour.

    Ce dernier travail a montré l'intérêt qu'il y avait à apprécier la compatibilité entre les versions française et anglaise d'un produit. Ceci est particulièrement important dans le contexte québécois et dans les organismes multinationaux.

    L'enjeu d'un label langue française

    Lors des travaux les faits suivants étaient consensuels : la pérennité du label passe par son inscription dans une logique économique et par son acceptation par les professionnels, l'anglais ne doit pas être la langue pivot incontournable, l'internationalisation des logiciels conditionne l'existence de produits localisés à offrir aux utilisateurs finals, souvent monolingues, de la société de l'information.

    Lors de la synthèse trois axes de travail ont été retenus pour une coopération :
    Sensibiliser aux enjeux de l'évaluation techno-linguistique en développant un discours pour les professionnels du domaine informatique sur la fonction de la grille et ses fondements, et un discours pour les consommateurs sur les acquis des évaluations réalisées.
    Réaliser dans chaque pays dans des conditions identiques l'évaluation d'un produit d'une catégorie donnée dans une version donnée, pour s'approprier puis consolider la grille d'évaluation.
    Réfléchir sur un processus de labélisation qui puisse s'adapter à différents pays voire à différentes langues dans le respect de leurs spécificités.

    Annie Marcheix

    Sommaire Changer l'appelation de l'association : un besoin incontournable

    Un constat

    Le malaise concernant les finalités et surtout les actions à mener n'est pas nouveau dans l'association. Il est même tellement récurrent que certains d'entre nous en sont venus à se demander si ce malaise existentiel ne constitue pas l'essence même de l'association, son " mal-être " constitutif de son être " intime ".
    Cette situation " existentialiste " n'est pas saine et ne peut constituer un fondement durable pour l'avenir de l'association. Il convient d'en analyser les raisons et de trouver des solutions, sinon des remèdes.

    Un objet associatif non identifié

    Il y a quelque chose d'étrange dans cette appellation " d'informaticien de langue française ".

    Être informaticien correspond à un choix professionnel conscient d'une personne. Être de langue française est un accident de naissance, un état de fait sur lequel on n'a aucune prise. Cela n'aide pas à définir d'emblée les finalités et les objectifs de l'association.

    A ma connaissance, il n'y a dans l'histoire de l'association que deux personnes qui dans leur travail avaient des problèmes liés à la langue française les ayant amenés vers l'association. C'est peu, et l'on peut légitimement se demander pourquoi l'association dure toujours après presque vingt ans !

    Si l'on regarde les associations qui nous sont proches, l'une d'elle a une forte unité de recrutement puisqu'il s'agit d'universitaires enseignant l'informatique et se préoccupant des problèmes sociaux liés à l'informatisation, une autre a pour objet le génie logiciel, la troisième manifeste un grand dynamisme pour la promotion des logiciels libres.

    Pour toute personne prenant connaissance de leur existence, la perception des buts et des actions est immédiate et non ambiguë.

    Lorsque l'on pense au mal que nous avons à expliquer les objectifs de l'AILF, il me paraît parfaitement justifié d'ironiser sur " l'objet associatif non identifié ".

    Il est donc tout à fait normal que les interlocuteurs projettent sur l'association leurs fantasmes " d'académiciens de la langue française " avec toute la connotation négative et poussiéreuse que cela évoque. En effet, quel lien trouver entre ces deux notions " informaticien " et " langue française " sinon une volonté militante d'imposer une informatique en français en excipant de notre exception (c'est un pléonasme à dessein) française. Or nous passons notre temps depuis au moins dix ans à exclure toute référence à la " défense de… "…

    Bien plus, on constate que plusieurs personnes les plus actives dans l'association ne se considèrent pas comme " informaticien " et expriment parfois leur malaise sur leur présence ! Il n'est pas non plus étonnant que la grande masse des adhérents se manifeste si peu. Les (trop) rares contacts avec eux amènent à penser qu'ils cotisent comme l'on cotise à une " bonne œuvre ", pour aider des gens qui ont un idéal certes élevé mais flou. Très peu de membres partagent le sentiment des actifs sur le rôle irremplaçable de l'AILF dans notre société !

    Cette situation selon moi ne peut perdurer pour au moins deux raisons :
    - Notre autorité de tutelle a déjà mis en doute notre représentativité tout en subventionnant.
    - Le renouvellement des membres actifs est trop faible ; il ne vont pas éternellement assumer la charge de faire fonctionner l'association.

    Enfin je peux dire en tant que trésorier que le faible montant des cotisations nous rend dépendant de subventions liées à des travaux que le faible nombre d'adhérents rend délicat à réaliser !

    AILF : Association des informatisés de langue française

    Un informatisé est une personne qui voit ses conditions de travail ou sa vie de tous les jours fortement impactée par l'informatisation.
    Avec le développement de masse de l'informatique, on peut dire que tout le monde est affecté par l'informatisation.

    Si l'on regarde nos activités à la lumière de cette appellation, on se rend compte qu'elles entrent toutes dans le champ, depuis les problèmes très techniques liés à la terminologie, les normes et la localisation, jusqu'aux problèmes de libertés et de citoyenneté.

    Entre " informatisé " et " langue française ", on rétablit un équilibre entre les deux termes : on ne choisit pas plus d'être informatisé que de langue française; par contre tout citoyen qui se sent concerné peut agir et trouve naturellement sa place dans l'association.

    De plus les informatisants, ceux qui sont les acteurs de l'informatisation des autres, et qui sont aussi des informatisés, trouvent tout naturellement leur place dans l'association puisqu'ils y viennent avec une motivation citoyenne et non dans un objectif " corporatiste ". C'est clair et non ambigu.

    De fait nous constatons que le noyau dur des actifs a toujours été formé d'informatisants qui souvent ne sont pas des informaticiens ou plutôt qui ne se considérent pas comme tels, mais qui ont des compétences réelles en rapport avec l'informatique.

    En éliminant cette dénomination peu claire d’" informaticien " (on ne peut pas définir de façon précise qui l'est et qui ne l'est pas, c'est justement un de nos thèmes de réflexion sur le statut de l'informatique), on lève des obstacles qui empêchent des candidats potentiels et motivés d'apporter leur compétence à l'activité de l'association.
    On réalise ainsi une des conditions indispensables pour le développement de l'association dans un contexte marqué par la prégnance de l'informatisation sur tous les aspects de la vie économique et sociale.

    Nous n'avons que trop tardé à opérer cette transformation. Il est plus que temps.

    Yvon Rastetter

    Sommaire Si on gardait notre appelation...

    Si certains adhérents, ou non adhérents, se sentent mal à l’aise avec l’appellation " Informaticiens " dans le libellé de notre association, c’est plus du fait que ce ne sont pas des informaticiens au sens strict – du point de vue de leur formation par exemple – ou l’objet qu’ils traitent professionnellement relève plus du traitement de l’information que de l’informatique stricto sensu.

    Par contre, l’objet associatif est bien identifié à partir de la conception, de la mise en place ou de l’usage de la technique, qu’il s’agisse de " respect de la langue française " ou de la " citoyenneté ". Les subventions successives ou la proposition d’une mission à l’étranger par la Délégation générale à la langue française, montrent bien l’identification de notre rôle et de notre compétence, l’agrément qui nous a été retiré s’appuyait sur deux aspects : nous n’avions jamais ester en justice et notre représentativité est à consolider.

    L’AILF est bien une association de professionnels, qui part de l’analyse de la responsabilité de professionnels sur des aspects de société pour proposer des actions à intégrer dans l’activité professionnelle. Contrairement à ce qui nous est proposé par un changement d’appellation, c’est-à-dire de transformer l’AILF en association de consommateurs : ceci n’est pas jusqu’aujourd’hui notre objet.

    C’est pourquoi je propose de ne pas changer d’appellation, mais par contre, il est absolument nécessaire de bâtir une stratégie de développement qui assoie la reconnaissance de l’AILF et améliore ses conditions de fonctionnement.

    Karl Crochart

    Sommaire Revues disponibles au secrétariat

    Expertises des systèmes d’information : n°221, décembre 1998

    La lettre d’information du Ministère de la Culture : n°38, 18 novembre1998 ; n°39, 9 décembre 1998

    La gazette de l’UIJLP : n°86, septembre-octobre 1998

    AGLoscope 98 – ADELI. [17 produits analysés]

    Les actes de LexiPraxi 98 " Former des citoyens pour maîtriser la société de l’information " sont en vente au tarif de 100 F frais de port inclus. Adressez-nous un chèque libellé à l’ordre de l’AILF, nous vous enverrons les actes par la Poste.

    Vous pouvez obtenir ces revues en vous adressant à Annie Marcheix.

    Sommaire À lire ...

    Expertises des systèmes d’information, n°221
    Informatique et libertés. L’Assemblée nationale autorise la DGI à utiliser le NIR par Sylvie Rozenfeld.
    Statistique ethnique. Attention au détournement de finalité. [Colloque " Statistique sans conscience n’est que ruine… "]
    Informatique et libertés. La CNIL refuse le marquage social. [Délibération de la CNIL du 13/10/98 sur ANIS]
    Vers la fin de l’assujettissement à la taxe levée par Microsoft - Roberto Di Cosmo, par Sylvie Rozenfeld.

    Lettre d’information du ministère de la culture, n°38
    Dossier : l’éducation artistique et culturelle, sensibiliser les jeunes au monde culturel.

    Lettre d’information du ministère de la culture, n°39
    Dossier : l’Europe de la culture, des avancées significatives.

    La gazette, n°86
    Mondialisation communication culture, par Hervé Bourges.

    La lettre Gutenberg, n°13
    Chronique typographique, petites capitales, par Jacques André. [Adhérent AILF]

    Annie Marcheix

    Manifestations

    19e Salon du livre, 19 au 24 mars 1999
    Organisé sous l’égide du syndicat national de l’édition, Porte de Versailles hall 1 à Paris. L’invité d’honneur est le Québec.
    Contacts : Virginie Jacquet (mél. : vjacquet@reed-oip.fr) et Marie-Victoire Boudillet (mél. : mboudill@reed-oip.fr). Tél. : 01 41 90 48 31/67

    La langue de spécialité et les réseaux, 18-20 mars 1999
    Organisé par l’université de Bordeaux 2.
    Contact : Michel Perrin, DLVP, Université Bordeaux 2, 3ter place de la Victoire, 33076 Bordeaux Cedex. Tél. : (33.5) 57 57 18 03, télécopie : (33.5) 56 31 8617, courriel : dlvp@lv.u-bordeaux2.fr, site web : http://www.langues-variantes.u-bordeaux2.fr

    17e Expolangues

    Grande Halle de la Villette à Paris du 27 au 31 janvier 1999. AILF stand E54

    L’AILF organise deux conférences à la salle Versailles le jeudi 28 janvier.

    De 10h00 à 11h00 sur le thème :
    L’adaptation culturelle des logiciels : le respect de le langue et de la culture ". Le problème de la localisation et de l’internationalisation des logiciels. (Adaptation des logiciels à une zone géographique donnée dans le respect des alphabets, des unités de mesure, des formats de date, etc. Généralisation d’un logiciel pour une grande variété de langues et de particularismes locaux.)

    De 11h00 à 12h00 sur le thème :
    Un label langue française : quelle problématique ? quels enjeux ? ". Quels principes peuvent être mis en œuvre pour évaluer la prise en compte et le respect de la langue française dans les produits informatiques ? (Une méthode d’évaluation des produits informatiques sous l’aspect de leur capacité technique à supporter les caractéristiques de la langue française comme d’autres langues.)

    Annie Marcheix

    SommaireSites internet ...

    Les listes de termes et expressions officiels des commissions de terminologie accessibles sur le site de la DGLF : http://dglf.culture.fr/culture/dglf/projet/index.htm

    Le serveur d’archives de l’association GUTenberg :
    ftp://ftp.univ-rennes1.fr/pub/GUTenberg

    L’ELSAP (étude linguistique de la signification à travers l'ambiguïté et la paraphrase) propose un dictionnaire des synonymes du français de 55 000 entrées et 410 000 synonymes.
    http://elsap1.unicaen.fr/dicosyn.html

    Rapport Bloche sur "la présence internationale de la France et de la francophonie dans la société de l'information"
    http://www.internet.gouv.fr/francais/textesref/rapbloche98/accueil.htm

    Le rapport " Association et internet " :
    http://www.vecam.org/associationinternet/association.html

    Trois associations, le Club de l'Arche, Admiroutes et Adminet, se sont unies pour ouvrir un site dans l'esprit des cahiers de doléances de 1789. Premier bilan en mars 1999, synthèse en l'année 2000.
    Doléances : http://www.doleances.org
    Admifrance: http://www.admifrance.gouv.fr/
    Adminet : http://www.adminet.com/

    Motion des membres de GILC (Global Internet Liberty Campaign), signée par IRIS, pour le cinquantenaire de la Déclaration universelle des droits de l'homme.
    http://www.iris.sgdg.org/info-debat/motions-gilc.html

    Canalnet propose un ensemble de ressources consacrées à la protection de la vie privée en ligne.
    http://www.canalnet.net/

    Rapport d'étape de Gérard Théry sur le passage à l'an 2000
    http://www.premier-ministre.gouv.fr /SYSTELEC2000/SOMMAIRE.HTM
    http://www.an2000.gouv.fr/etudes_et_rapports/thery/sommaire.htm

    Legalnet pour les aspects juridiques de l'informatique, du multimédia et des télécoms. Jnet pour les décisions relatives aux " affaires " dans le secteur Internet.
    http://www.legalis.net/jnet/1998/actualite_12_98.htm

    Annie Marcheix

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