AILF info
SOMMAIRE
L'assemblée générale 2000
ISO-IEC/JTC1-SC36
(normalisation des NTIC pédagogiques)
Revues disponibles
À lire ...
Manifestations
Sites internet ...
Dici deux mois nous tiendrons notre assemblée générale de lannée 2000 de façon ordinaire selon une organisation maintenant bien connue de nos membres. Nous souhaitons privilégier la communication électronique pour favoriser une plus forte participation à cet événement particulier. Les informations et les documents utiles seront disponibles sur notre site internet jusquà la date de lassemblée (rubrique nouveautés), ils seront aussi envoyés par messagerie électronique aux membres qui nous ont transmis leur adresse et par voie postale dans les autres cas. Une procédure de vote par correspondance est organisée comme les années précédentes pour les membres qui ne peuvent être présents à lassemblée.
Les dates à retenir
11 décembre 2000 à 12 heures : date de clôture de la réception des candidatures au conseil dadministration. Les administrateurs doivent faire acte de candidature chaque année, que ce soit une première candidature ou un renouvellement. Envoyez au siège social de lassociation ou à ladresse électronique ailf@francophonie.net votre candidature sur papier libre, complétée par votre profession de foi, expression de votre motivation et de votre projet dactions au sein du futur conseil dadministration.
18 décembre 2000 : envoi de la liste des candidats au conseil dadministration et du matériel de vote. Les membres ayant cotisé en 2000 ont un droit de vote sur les rapports moral et financier de lannée 2000 ; lélection du conseil dadministra-tion est ouverte à tous les membres ayant cotisé en 2000 et/ou en 2001. Les rapports moral et financier seront diffusés au tout début 2001.
12 janvier 2001 à 12 heures : date de clôture de la réception, au siège social, des votes par correspondance. Votez par correspondance en nous renvoyant par courrier la liste entière des candidats au conseil dadministration ou la liste avec des noms barrés et le bulletin dapproba-tion des rapports moral et financier dûment rempli. Ou votez par procuration, en nous renvoyant par courrier votre procuration dûment remplie, sans oublier de vérifier auprès de la personne que vous mandatez quelle na pas dautre procuration. Nous vous rappelons quun membre à jour de cotisation, au vu des statuts, ne peut recevoir quune seule procuration.
13 janvier 2001 lassemblée générale de lAILF pour lannée 2000 aura lieu dans les locaux du CICP 21 ter rue Voltaire à Paris 11e au 2e étage salle n°4 de 9 h à 13 h.
Le débat dorientation
Le débat général sur les orientations de lassociation pour lannée 2001 portera sur notre participation à lannée euro-péenne des langues, notre contribution au débat sur la brevetabilité des logiciels et notre engagement dans les travaux de normalisation des TIC pédagogiques. Ces thèmes sinscrivent naturellement dans la suite de LexiPraxi 2000 et des actions de lannée 2000. Lannée européenne des langues est une belle occasion de promouvoir le plurilinguisme et sa mise en uvre avec des produits conçus pour linternationalisation, nous pourrions nous y employer. La brevetabilité des logiciels est généralement appréhendée selon des critères économiques se référant peu à une analyse socioculturelle portant sur le libre accès au savoir et la diversité culturelle, nous pourrions y contribuer. La normalisation des TIC pédagogiques recèle des enjeux linguistiques et culturels qui nous sont familiers, nous pourrions nous y impliquer (cf. ci-après).
Lappel à cotisation pour lannée 2001
La cotisation est de 200 francs pour les personnes physiques et de 500 francs pour les personnes morales, elle est exigible au 1er janvier 2001. Votre cotisation vous donne le droit de vote à lassemblée générale, vous permet de recevoir les publications de lassociation, en particulier AILF info et À propos, et de participer à nos activités comme vous le souhaitez. Elle procure à notre association les moyens financiers nécessaires à son fonctionnement, et cet équilibre financier nest pas toujours aisé à réaliser !
Annie Marcheix
La mise en place d'un chantier de normalisation des NTIC dans le cadre de l'enseignement et la formation a été annoncée dans AILF info n° 39 de juillet 2000, nous concluions sur l'urgence d'une mobilisation française en la matière pour la création d'un groupe miroir AFNOR SC36, et sur l'étape importante pour le futur que représentait la seconde rencontre du groupe de travail du sous comité 36 prévue en septembre 2000 à Albuquerque (Nouveau-Mexique, États-Unis). Nous y avons participé avec Michel Arnault du 19 au 21 septembre 2000, mais à Sedona (Arizona) et avons représenté le groupe AFNOR SC36, encore en cours de mise en place.
Après un an de travail, les perspectives
De mars 2000 à Londres (première rencontre) à septembre 2000 à Sedona l'intérêt des participants comme l'appui constant des institutions de normalisation des pays membres nont pas failli. Après huit mois de travail en réseau et deux rencontres plénières de trois jours chacune, les participants commencent à bien se connaître et constituent maintenant une communauté solidaire qui partage des objectifs et un projet prospectif en commun. Une vingtaine de participants répartis sur onze délégations nationales constitue un groupe d'une taille raisonnable, parfaitement pilotable, dans lequel chaque individu a la possibilité d'exprimer librement son opinion et de faire part des projets et intérêts qu'il représente. À Londres, le travail était presque exclusivement centré sur l'établissement d'un consensus sur : le champ d'exploration du secteur de normalisation dont le sous comité 36 devenait institutionnellement responsable (en anglais scope, défini comme standardization in the field of information technologies for learning, education and training to support individuals, groups and organisations, and to enable interoperability of ressources and tools) ; le titre précis du domaine information technologies for learning [1] ; les rôles respectifs de lIEEE [2], du LTSA[3] et du CEN-ISSS[4], organisés en "troïka" de pilotage, lIEEE étant chef de projet. Y ont aussi été décidés les types de liaison (élément fondamental dans la philosophie du fonctionnement du JTC1 [5] soucieux de synergies convergentes) avec les autres sous-comités du JTC1, de lISO, de lUIT[6] et du W3C[7].
Équipe de pilotage : Frank Farance (Chef du projet SC36 IEEE) ; Antonio (Tony) Monaco (SC36 Secrétaire général, US-Army) et Carolyn Merrick (administratrice US-Army) ; Allemagne : Rolf Lindner (Technische Universitaet Darmstadt) ; Australie : Jon Mason (consultant en technologies éducatives) ; Corée (membre observateur) : Jin Gon Shon (Department of Computer Science : Korea National Open University) ; Danemark : Keld Drube (Danish Standards Association) ; États-Unis : Bruce Peoples, (Chef de Délégation, Raytheon Technical Services Co.) ; Carlos Amaro (Lockheed Martin) ; Jack Hyde (Flight Safety Boeing Training International) ; William A. McDonald (Flight Safety Boeing Training International) ; William Melton (US Army Training) et Tyde Richards (IBM) ; France : Henri Hudrisier, (Chef de Délégation, Université de Paris VIII, GEMME : Groupement dEnseignement Médiatisé et sur MEsure) et Michel Arnaud (Université Strasbourg I, FIED : Fédération Interuniversitaire dEnseignement à Distance) ; Grande Bretagne : Mike Collett, (Chef de Délégation, Education Online) et David Keech (BSI, British Standards Institution) ; Irlande : Micheal Mac Conmara (Dublin City University) ; Japon : Kiyoshi Nakabayashi, (Chef de Délégation, E-Cube Development, NTT-X) ; Yuji Tokiwa (IBM) ; Akihiko Koga (Hitachi Ltd., Systems Development Laboratory) et Masanobu Higashida (ATR Institute International : laboratoire interuniversitaire) ; Norvège : Knut Lindelien, (Chef de Délégation, Norwegian Technology Centre) et Erlend Overby (LearnWays AS) ; Ukraine : Katherine M. Sinitsa (International Research and Training Center of Information Technologies and Systems) |
Les quatre premiers thèmes de travail (work
items) y avaient aussi été proposés et entérinés. Deux
de ces thèmes, déjà bien définis par des travaux
préparatoires et qui de ce fait pouvaient rapidement faire
lunanimité, ont été discutés : le thème du
vocabulaire, prévu dans les trois langues de la normalisation
(russe, anglais et français), et piloté par l'Ukraine ;
celui de lapprentissage collaboratif piloté par le Japon.
À propos du vocabulaire, la discussion a essentiellement porté
sur l'exception culturelle que constituait le SC36 par rapport
aux autres sous comités du JTC1. Il fut proposé de pouvoir
dépasser la taille maximale jusqu'ici habituellement admise pour
le vocabulaire dun domaine (quelques 500 termes) ce qui
devra sans doute induire un travail en strates hiérarchisées
(des termes propres au plan technologique et des termes associés
en science de léducation et sur la description des
ressources...) et ce qui exigera que sétablisse une
liaison particulière entre l'établissement du vocabulaire et le
travail sur les métadonnées et les ontologies.
À propos de lapprentissage collaboratif, un seul vrai
reproche ou plutôt une question a été posée : quelles
devraient être les spécificités pédagogiques par rapport à
ce qui est déjà développé pour les entreprises selon les
logiques des environnements NTIC dédiés au travail
collaboratif ?
Le thème piloté par les Américains (human interfaces)
na pas donné lieu à une véritable discussion à cause de
son faible état davancement, ni le thème des
architectures de systèmes piloté par l'Allemagne. Toutefois,
nous avons tous convenu que ce thème était au cur du
projet mais nous savons tous, aussi, que le consensus sera
évidemment très long et très délicat à établir. À ce
propos, une typologie des méthodes et des architectures
jusqu'ici avancées a été recensée dans trois documents
princeps auxquels s'ajoutent les propositions allemandes :
le document produit par lIEEE et le LTSA, qui est la
proposition de départ, et qui est spécifique à la formation
dans le domaine aéronautique, qui induit des modèles de
normalisation faiblement ouverts.
le rapport d'avancement des travaux du groupe européen du
CEN-ISSS qui reflète la diversité des besoins pragmatiques du
réseau Ariadne.
la contribution personnelle de Franck Farance :
cest un travail très intéressant qui se fonde sur une
vision idéale de lapprentissage et qui lassocie
pragmatiquement à une mise en uvre systématique de
"codes articulés entre eux". Ce mode de définition
normative pourrait ainsi supporter une diversité de facettes
quasi infinie. De mon point de vue, cest la seule
proposition qui tienne compte de lextrême complexité du
domaine de la pédagogie et cest aussi le seul modèle qui
pourrait correspondre aux progrès actuels et à la
sophistication des NTIC dès lors quelles seront supposées
répondre non plus seulement à lautomatisation de tâches
logiques industriellement définies mais à des tâches floues
que supposent les sciences humaines pour des domaines aussi
complexes que léducation en général.
Toutes ces architectures sont très
inté-ressantes, mais de mon point de vue, pour susciter
lintérêt des utilisateurs, et même des chercheurs du
domaine tant public quindustriel, il est nécessaire
davoir une vision opératoire du domaine proposé à la
normalisation (les systèmes d'information et de communication
pédagogiques), et du principe de fonctionnement dune
liaison par des métadonnées avec des ressources pédagogiques,
toutes choses jusqu'ici absolument confondues et congruentes.
Pour un spécialiste des systèmes d'information,
lévolution vers des ressources dinformations
structurées organisées sur la base d'ontologies et accessibles
à travers des métadonnées est inéluctable mais la
construction dun " modèle de vérification et de
démonstration " (généralement incluse dans le
programme de définition du champ de normalisation dun
comité ou sous comité) devrait savérer urgente.
Les résolutions finales de Sedona approuvent quasi unanimement
les travaux actuels, lavancement du plan de développement
sous la responsabilité de lAustralie et un calendrier des
futures rencontres plénières[8].
Propositions françaises, opportunités
Il a été proposé à Londres que la France
assure, prioritairement, la liaison avec le sous comité 35 [9] du JTC1
" aspects multiculturels et
multilinguistiques " sur les questions de
représentation des caractères (ISO/IEC 10646) et à propos de
la norme ISO/IEC 16642 " métamodèles pour la
représentation des ensembles de données terminologiques
multilingues "[10].
La France pourrait aussi simpliquer valablement dans la
construction du SC36 à travers, notamment lINRIA et le GET
(Groupement des Écoles des Télécoms), ainsi que des centres de
recherches et des industriels.
Rappelons les travaux de Monique Granbastien sur les
terminologies en éducation, les compétences universitaire et
industrielle en matière de métadonnées, dontologies et
de modèles de structures (Topic Maps par ex.) dont Michel
Biezunski (InfoLoom Inc.) est un spécialiste mondialement
reconnu. De ce fait, il serait important de concrétiser une
contribution française, voire francophone, au thème
terminologie piloté par lUkraine, en liaison avec
léquipe de Laurent Romary et avec le projet (non exprimé
en séance mais discuté avec les représentants de larmée
américaine) dune contribution française dans le domaine
des interfaces entre les systèmes visés par le SC36 et les
ressources pédagogiques, en bénéficiant des projets de
bibliothèques virtuelles (Silfide, médiathèque de lAUF,
Édufrance, luniversité de Franche-Comté, la
numérisation des thèses à Marne-la-Vallée dirigée par Odile
Artur...).
Lopportunité de lier un travail de recherche sur des
architectures à une recherche sur le savoir-faire pédagogique
médié proprement dit est évidente (cf. proposition de
collaboration avec le groupe allemand). Ce point impliquerait
plusieurs directions de recherche : collaboration avec des
industriels, intégration de tels travaux dans le groupe
CEN/ISSS, travaux de recherche fondamentaux, évaluations des
usages par des chercheurs en sciences de léducation...
Michel Arnaud a discuté la proposition dune contribution
française au groupe collaborative learning qui a été
formellement acceptée.
La proposition dune contribution française aux questions
de simulation, notamment les simulateurs de vol, a été surtout
discutée par Michel Arnaud qui envisage notamment lusage
second de tels simulateurs dans des domaines beaucoup moins
spécialisés de léducation et de la formation.
Stratégie
Nos missions comme délégués français à
Sedona ont été payées par GEMME, et il nexiste pas à ce
jour de groupe miroir du SC36 réellement constitué :
comité national 36 (CN36). Cest une urgence stratégique
et institutionnelle qui rend obligatoire la mise à lordre
du jour :
dune plate forme des enseignants et institutions du
supérieur, ce qui est en très bonne voie à la suite de la
journée organisée à la MSH par FIED-GEMME le 25 octobre 2000
et intitulée "normalisation des technologies de
linformation pour léducation et la formation".
Des acteurs aux compétences complémentaires ont participé à
cette journée (cf. encadré).
louverture et la mise en place de liaisons
opérationnelles en direction de larmée, des avionneurs,
des acteurs de la formation, des éditeurs de contenus... de
façon à ce que puisse se mettre en place une dynamique de
projet productive et consensuelle.
Étaient présents le 25/10/00 à la MSH : Chantal ACHERE (Univ. Lille 3 - FIED - GEMME) ; Michel ARNAUD (Univ. Strasbourg-Paris X- CRIS/SERIES) ; Odile ARTUR (CNRS -Univ. Marne-la-Vallée) ; Jean-Pierre AULAS (Univ. Paris 6) ; Charlette BURESI (Min. Éducation nationale, sous-dir. bibliothèques) ; Marie-Françoise CASTAING (LIMSI-CNRS) ; André COGNE (Univ. Grenoble 1 - Projet ARIADNE) ; Philippe COMPOINT (ENST) ; Daniel FORET (Univ. Toulouse 2 - FIED) ; Arnaud GALISSON (ENST) ; Monique GRANDBASTIEN (INAP-G) ; Henri HUDRISIER (Univ. Paris 8 - GEMME) ; Geneviève JACQUINOT (Univ. Paris 8) ; Emmanuel LAZINIER (Min. Défense) ; Michel LE COZ (Agence Universitaire de la Francophonie) ; Jean-François LEGENDRE (AFNOR) ; Jean-Luc LORY (Fondation Maison des Sciences de lHomme (FMSH) CNRS - Projet PNER) ; Jean-Max NOYER (Univ. Rennes 2) ; Anne-Stephane OGREAU (Sté TMS) ; Jacques PERRIAULT (Univ. Paris X - CRIS/SERIES - FIED) ; Olivier PINTE (FMHS - Projet PNER) ; Jean-Michel SAILLANT (Univ. Paris X - CRIS/SERIES - FIED) ; Mathieu STOLL (Min. Éducation nationale, sous-dir. bibliothèques) ; Claude VIEVILLE (Univ. Lille 1 - Lab. TRIGONE) ; Afsa ZAOUI (GEMME) |
Il est aussi fondamental que le groupe FIED-GEMME élargi qui a su effectivement prendre en charge la représentation française SC36 à Sedona, puisse sortir de sa logique un peu trop spécifique à lenseignement supérieur et à la recherche publique pour sinscrire dans la continuité des travaux européens de normalisation aux principes bien établis et dans les méthodes de lAFNOR qui ne sont pas forcément habituelles pour tous les universitaires. Tous les membres du groupe le souhaitent, mais cette fusion synergique et cette démarche pour sinscrire dans un projet commun avec des industriels, des formateurs dentreprise, des enseignants du premier et du second degré, des grandes écoles, de lenseignement libre, des militaires, des avionneurs, des institutions contraignantes comme lAFNOR, lISO ou le CEN seront difficiles. Cest cependant fondamental pour conserver notre capacité dinnovation et notre crédibilité de pays développé en la matière.
NOTES
[1] Les
délégations anglaise et américaine ont longuement débattu sur
la portée sémantique distincte des mots education learning and
training dans leur culture respective pour résister aux désirs
de simplification américains. Faisons le souhait que lorsque les
États latins contribueront aux travaux ils pourront encore
défendre des spécificités culturelles que les français seuls
ne pourront complètement défendre.
[2]
Institute Electrical and Electronics Engineers
[3]
regroupement davionneurs.
[4]
Comité Européen de Normalisation - International Society
Standardization System
[5]
Joint Technical Committee # 1
[6]
Union Internationale des Télécommunications
[7]
World Wide Web Consortium
[8]
03/2001 New York ; 09/2001 Copenhague ; 03/2002
Adélaide (Australie) ; 09/2002 Dallas ; 03/2003
Paris (proposition non officielle)
[9]
dont Yves Neuville (MENRT) est le chairman ISO/IEC
[10] dont Laurent Romary (LORIA Nancy) est le chairman
ISO/IEC
Henri Hudrisier
(Université Paris 8, GEMME)
Henri Hudrisier fera une communication sur ce thème à LexiPraxi 2000.
Expertises des systèmes dinformation : n°241, octobre 2000 ; n°242, novembre 2000
Lettre dinformation du ministère de la Culture : n°71, 15 septembre 2000 ; n°72, 1er octobre 2000
La lettre - ADELI : n°41, octobre 2000
Les exclusives de lAFNOR : n°210, 25 septembre 2000 ; n°211, 9 octobre 2000 ; n°212, 23 octobre 2000
La lettre de lAssemblée parlementaire de la francophonie : n°21, septembre - octobre 2000
AFNOR Table des codes NAF
Vous pouvez obtenir ces revues en vous adressant à Annie Marcheix.
Expertises des systèmes dinformation,
n°241
Flux transatlantiques de données personnelles. Les principes de
la "sphère de sécurité" sont adéquats.
À la présidence de lIsoc France Olivier ITEANU en toute
convivialité, par Monique Langlet.
Lapproche communautaire de la responsabilité des acteurs
de linternet, par Cyril Rojinsky.
Expertises des systèmes dinformation,
n°242
Projet de loi "Informatique et libertés". Le retard de
transposition nengendre pas la simplification, par Sylvie
Rozenfeld.
Brevetabilité des logiciels. La Commission relance le débat
mais pas lOEB, par Sylvie Rozenfeld.
Contrôle des messages électroniques par les employeurs.
Jugement flou sur linformation préalable des salariés.
CNIL : lobligation de dénonciation contrôlée par le
Conseil dÉtat, par Agathe Lepage.
Une décision qui fera date : uvre collective et
rémunération équitable, par Daniel Bécourt.
La surveillance électronique. Le critère de proportionalité
entre fin et moyens : point de repère pour le législateur,
Laurent Leguevaque.
Lettre dinformation du ministère de
la culture, n°71
Pour une régulation de la société de linformation, par
Catherine Tasca.
Lettre dinformation du ministère de
la culture, n°72
Dossier : le budget 2001 pour la culture et la
communication.
La lettre de lADELI, n°41
BSA ou GNU ? Protection et liberté des logiciels, par Noé
Lavallée, Michel Demonfaucon, Alain Coulon...
Les exclusives, n°212
Santé données et sécurité des systèmes
dinformation. Santé : sécurité et qualité. [Une
série de normes expérimentales sur les dossiers de santé
informatisés communicants (Electronic healthcare record
communication) et la sécurité des communications dans le
domaine de la santé, un fascicule de documentation sur
lanonymisation en informatique de santé.]
Archivage électronique collection Afnor Pratique :
Archivage électronique, aspects techniques et juridiques.
Annie Marcheix
Troisièmes Assises de l'Internet non
marchand et solidaire, 16 décembre 2000
Co-organisées par les associations Globenet, IRIS (Imaginons un
réseau Internet solidaire) et R@S (Réseau associatif et
syndical) au Centre européen Paris La Chapelle, 69ter rue de La
Chapelle, 75018 Paris.
Thèmes : les solutions alternatives pour l'accès à
Internet et l'hébergement, la protection des données, la
représentativité des acteurs, la gestion des ressources
collectives notamment l'espace des noms de domaines ;
l'utilisation d'Internet sur le lieu de travail ; comment
lutter contre l'incitation à la haine dans le respect des
libertés et droits fondamentaux sur Internet (en collaboration
avec le MRAP).
Contact : tél et fax 01 44 74 92 39
mél. :co@assises.sgdg.org
http://www.assises.sgdg.org/2000/preparation-assises00
"Du global à l'universel, les enjeux de
la francophonie" rapport présenté par Yves Tavernier à
lAssemblée nationale à la commission des finances (n°
2592) :
http://www.assemblee-nationale.fr/2/2commissions.html
Deuxièmes rencontres parlementaires sur la
société de l'information et l'Internet, annonce de la création
d'un "forum des droits sur l'Internet" pour
"améliorer l'information du public et ouvrir un espace de
dialogue et de réflexion pour les acteurs de
l'Internet" :
http://www.internetactu.com/archives/dossiers/netpourtous/index.html
© Internet Actu 12/10/2000
Brevetabilité des logiciels :
létude de l'Intellectual Property Institute (IPI)
présentée par la Commission européenne en parallèle de la
consultation publique jusquau 15 décembre 2000 :
http://europa.eu.int/comm/internal_market/en/intprop/indprop/study.pdf
http://europa.eu.int/comm/internal_market/fr/intprop/indprop/softpatfr.htm
Le courrier électronique protégé par le
secret des correspondances :
http://www.juriscom.net//txt/jurisfr/prv/tcorr20001102.htm
Le droit à la vie privée s'étend-il à l'utilisation du
courriel par un employé dans le cadre de ses fonctions ? Étude
de Juliette Lenfant :
http://www.juriscom.net/uni/etd/04/presentation.htm
Projet de Convention du Conseil de l'Europe sur
la cybercriminalité :
http://conventions.coe.int/treaty/FR/projets/cybercrime.doc
Communiqué de presse d'IRIS :
http://www.iris.sgdg.org/info-debat/com
m-coe1000.html
La lettre de GILC :
http://www.iris.sgdg.org/info-debat/gilc-coe-fr-1000.html
Autres liens sur le site dIRIS : organismes
signataires, textes de références.
L'information des malades et l'accès au
dossier médical : étude de législation comparée du
Sénat LC 78 :
http://www.senat.fr/lc/lc78/lc78.html
Annie Marcheix