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Normalisation des NTIC
pédagogiques et création d'un groupe ISO-SC36 à l'AFNOR
La localisation de KDE
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Le pilote du groupe de travail sur la problématique de la localisation est Gérard Claës, le joindre à l'adresse électronique gerard.claes@wanadoo.fr ou au 01 60 77 72 06
Normalisation des NTIC pédagogiques et création dun groupe ISO-SC36 à lAFNOR
Le JTC1 (Joint Technical Comity), Comité
technique commun à lISO et à IEC (International
Electronic Commission), lieu où se préparent de nombreuses
normes qui organisent un univers des NTIC dannées en
années plus convergent et intercompatible, vient de démarrer la
mise en chantier dune normalisation des systèmes
dinformation destinés à lenseignement et à la
formation. En termes concrets, il sagit de formaliser pour
pouvoir le normaliser, un contexte de médiation aujourdhui
complexe et disparate. Le SC36 (Sous Comité du JTC1) est
désormais chargé de développer ce programme de travail.
Lingénierie éducative est un fait
inéluctable quun certain nombre denseignants et de
décideurs de léducation et de la formation (depuis
luniversité jusqu'à lentreprise) ne remettent pas
en cause. Il existe en France et dans le monde quantité
duniversités virtuelles, de réseaux denseignement
à distance, de professeurs impliqués dans la médiation
pédagogique par les NTIC. Il existe aussi quantité
dentreprises, déditeurs multimédia qui produisent
des systèmes technologiques et de linformation
pédagogique.
Lingénierie éducative devient une
activité mondiale, multinationale, multiculturelle et
multilingue étroitement dépendante des NTIC. Cest aussi
un domaine économique en pleine expansion. De très nombreux
éditeurs, réseaux câblés, chaînes hertziennes... se sont
spécialisés dans ce secteur. On peut surtout penser que la
logique de développement informationnel devrait permettre à
moyen terme de développer de la formation interactive attachée
à de très nombreux produits et services (de lordinateur
au paquet de nouilles en passant par le tourisme,
lenvironnement...), disponibles en tout lieu et à toute
heure (par exemple sur le téléphone portable).
Ces perspectives imposent que
lingénierie éducative dépasse sa phase de
" bricolage singulier ", quelle
sorganise et se structure notamment dans le cadre
dInternet et de linformation structurée.
Lenseignement assisté par ordinateur ou à distance a
besoin dorganiser ses ressources, ses forces de travail,
ses pôles de production, ses méthodes, ses réseaux.
Normaliser lingénierie éducative
cest effectivement créer le cadre fonctionnel, formel,
structurel, mais aussi qualitatif et sémantique qui permettra
dorganiser et de faire fonctionner toute tâche
pédagogique, mais aussi de mettre en relation un collège
denseignants (et/ou) dapprenants, détablir la
communication, dencadrer les évaluations, dorganiser
les routines dapprentissage, détablir des profils
dapprenants, de proposer des stratégies dacquisition
de savoir...
Ce sera aussi, créer des architectures
logiques et documentaires qui permettront de gérer et
dutiliser dimmenses patrimoines de supports
denseignement découpés en modules, voire en grains de
pédagogie médiatisée, et ce de façon multidisciplinaire,
multimodale, multimédia, multilingue, organisée en niveaux et
disponible sur réseaux de façon planétaire. Ceci devient
dannée en année plus crédible, puisque se créent des
univers de description, des données balisées tant au niveau
structurel, que sémantique et quà celui des références.
Il faut toutefois signaler que le SC36, distingue bien par
méthode ce qui est de lordre de la médiation pédagogique
proprement dite, de ce qui est de lordre des ressources et
contenus que ces systèmes devront savoir mobiliser et organiser
pédagogiquement, mais qui relèveront sur le plan normatif de la
bureautique (SC18 du JTC1) et de la documentation (TC46 de
lISO).
Ce sera enfin organiser le cadre
technomédiatique a priori ou en fonction des besoins directement
détectés par lapplication. Il faut savoir
quaujourdhui cette activité dorganisation
technomédiatique de la pédagogie multimédia utilise
malheureusement une proportion bien trop importante du temps de
lenseignant ou du formateur impliqué dans la pédagogie
par NTIC.
Le terme de normalisation effraye à bon droit nombre denseignants (ou même de formateurs) qui contrairement aux spécialistes des systèmes dinformation entendent normes au sens restrictif du terme et non comme un cadre ouvert permettant de définir de façon diversifiée et articulée un grand nombre de fonctionnalités, y compris contradictoire, soumises à définition normative. Cest sur ces bases que sorganise ensuite (comme cela sest déjà fait pour le texte et pour limage) un cadre dindustrialisation cohérente et interopérable permettant de produire à terme de 5 à 10 ans, des stations (ou des logiciels ou des composants) de médiation pédagogique en très grand nombre et à très bas coût.
On peut ainsi penser qu'un effort conceptuel important doit être entrepris par la communauté des pédagogues en interaction avec les acteurs techniques des NTIC, pour proposer une articulation ouverte :
Ceci signifie concrètement que le processus dévaluation de lapprenant sur un CD-ROM du commerce pourrait se raccorder au système institutionnel mis en oeuvre dans un collège ou une université. Cela signifie aussi que deux CD-ROM aujourd'hui absolument incompatibles, puissent être mis en uvre en synergie dans des systèmes de médiation d'enseignement.
Le résultat le plus probant serait que tous les enseignants et formateurs, qui aujourd'hui dépensent une part très importante de leur énergie à organiser et à maîtriser un environnement NTIC pour médiatiser leurs contenus denseignement puissent au terme de laboutissement des travaux du SC36 se consacrer presque exclusivement à la création et à l'édition de ressources pédagogiques et à conserver plus de temps en face à face avec létudiant.
La place de l'Europe, et de la France en particulier, nest pas négligeable à ce jour. Nous avons déjà fait entendre notre voix avec des résultats concrets. Le SC36-ISO auquel est directement associé le CEN-ISSS (européen), centralise à ce jour un certain nombre de propositions concrètes de travail relatives aux architectures de système et de médiation pédagogique (Allemagne), aux interfaces homme/machine (États-Unis), aux vocabulaires (Ukraine), et à la pédagogie collaborative (Japon).
Le SC36 n'est certainement pas une panacée
universelle. C'est le produit d'un consensus raisonnable, mondial
et inéluctable.
On peut imaginer le sentiment dubitatif de
ceux, qui jusqu'à ce jour, ont consacré une part importante de
leur énergie universitaire, à construire des centres de
ressources et des réseaux de diffusion de l'enseignement
médiatisé et à distance.
Pour ceux qui ne s'y attendaient pas, SC36
doit faire l'effet d'un cataclysme.
L'échiquier politique est brutalement
recomposé à l'échelle mondiale, interprofessionnelle,
interlinguistique, interculturelle...
Mais ces grands réseaux, ces grands
opérateurs nont aucune crainte à avoir, si ce n'est celle
de ne pas " rater le bateau " qui ne
repassera pas.
Cest pourquoi les décisions que pourront prendre les professionnels français de la pédagogie tant enseignant, que formateurs, quéditeurs ou industriels à travers leur participation au " groupe miroir Afnor du SC36 " sont fondamentales et urgentes. On aura remarqué que les enjeux linguistiques et culturels sont fondamentaux dans ce type de développement normatif.
Les personnes et les institutions intéressées
peuvent sadresser au Gemme (courriel : azgemme@ext.jussieu.fr), à Françoise Kandl, IBM France (courriel : fkandl@ibm.com), ou à lAfnor (courriel : jean-francois.legendre@email.afnor .fr).
La prochaine rencontre internationale de la
communauté SC36 aura lieu à Albuquerque au Nouveau Mexique
(États Unis) les 19, 20 et 21 septembre 2000.
Henri Hudrisier (Université Paris 8)
Le projet KDE (K Desktop Environment) a été initié en Allemagne, en octobre 1996, par un groupe d'étudiants de l'Université de Tübingen (Allemagne), regroupés autour de Matthias Ettrich. KDE est un environnement de travail graphique complet qui met à disposition des utilisateurs une offre logicielle très variée (multimédia, graphisme, édition, accès à l'internet, outils de développement...). Ces programmes sont des logiciels libres (sous licence GPL et LGPL) : ils sont disponibles gratuitement et peuvent être librement modifiés, tant pour le code source que pour les fichiers de traduction. Très rapidement, ce projet a pris une envergure internationale et a suscité un immense intérêt des utilisateurs et des développeurs. Du fait qu'il a été lancé par des Européens, KDE a bénéficié d'une attention particulière quant à la nécessité d'une internationalisation et d'une localisation de l'environnement pour une langue et un pays donnés. Installé comme environnement graphique de travail par défaut par la très grande majorité des distributions Linux, KDE est disponible en 32 langues, applications et manuels d'utilisation compris.
Dès la sortie des premières versions beta, un important effort de traduction de KDE en français a été entrepris, qui n'a cessé de se développer : le français est reconnu comme une des langues prioritaires, à tel point que l'absence de traduction en français peut entraîner le retard de sortie d'une version officielle. Sous son appellation actuelle " KDE-Franco-phone ", notre équipe a pris depuis ces dix-huit derniers mois un essor décisif. L'arrivée de nouveaux contributeurs nous permet désormais d'envisager des actions ambitieuses (promotion de KDE et des logiciels libres, rédaction d'un dossier de presse pour la sortie de KDE 2.0, réalisation de supports de présentation et de formation autour de Linux et KDE...). Ces projets, qui n'étaient pas envisageables il y a moins d'un an, ne représenteront néanmoins, qu'une activité annexe de KDE-Francophone, dont l'objectif principal reste la traduction et la localisation en français de l'intégralité de KDE. La tâche est immense, mais accomplie avec enthousiasme par des bénévoles motivés, pendant leur temps libre. Actuellement, KDE-Francophone est composé d'une vingtaine de membres actifs, issus d'horizons professionnels et géographiques divers. Les informaticiens y sont d'ailleurs minoritaires, ce qui permet un meilleur recul dans les travaux de traduction, chacun apportant ses idées et ses compétences dans différents domaines.
KDE-Francophone est organisé autour de deux pôles de traduction fondamentaux : les applications KDE et leurs manuels d'utilisation.
Ces deux sous-équipes sont structu-rées et fonctionnent d'une façon identique. Un coordinateur a pour mission d'être l'interface entre les traducteurs et le référentiel CVS : il attribue les fichiers originaux (en anglais) et, après réception du fichier traduit, l'intègre dans le référentiel (le serveur sur lequel sont regroupés tous les fichiers qui composent KDE). Cette organisation stricte est nécessaire pour garantir qu'une seule et unique personne a la charge d'un fichier donné à un moment donné. Les concertations et débats entre traducteurs ont lieu dans une liste de discussion : kde-francophone@egroups.fr, qui constitue le point de rendez-vous initial pour proposer ses services de traducteur, poser une question, s'informer sur les choix de traduction existants ou sur la bonne méthode pour travailler sur un fichier. Un dictionnaire a aussi été élaboré pour rendre les traductions aussi homogènes que possible ; il est enrichi au fur et à mesure que les problèmes sont rencontrés et sert même de référence pour l'internationalisation d'autres logiciels libres.
Généralement, toute application KDE possède
un manuel d'utilisation qui décrit ses principales
fonctionnalités.
Celui-ci est disponible sous plusieurs
formats mais la version HTML est la plus utile car il est
possible de la consulter directement dans le système d'aide de
KDE. Le manuel original est rédigé en anglais au format SGML
(Standard Generalized Markup Language).
SGML n'est pas un langage où le formatage
du document est directement écrit dans le fichier. Au contraire,
des balises sont utilisées pour indiquer le type de contenu et
le fichier SGML est ensuite converti dans un format réellement
consultable par l'utilisateur : HTML pour une lecture en
ligne, PostScript pour un impression de haute qualité, etc.
SGML est en fait composé de trois parties.
La structure, appelée DTD (Document Type Definition) définit
les balises à utiliser pour les relations entre chaque
élément. La DTD LinuxDoc utilisée pour les manuels de KDE 1.x
a été abandonnée au profit de la DTD DocBook, plus riche et
reconnue comme un standard de l'industrie.
La feuille de style DSSSL (Document Style
Semantics and Specification Language) indique comment convertir
un fichier SGML dans un format visualisable (HTML,
PostScript...). Par exemple, le fichier DSSSL indique qu'il faut
convertir la balise SGML <table> en <h1> pour un
rendu HTML ou " gras, 14 points " pour un
rendu RTF. Les manuels d'utilisation de KDE utilisent une feuille
de style spécifique qui ajoute des éléments particuliers,
comme le logo de KDE.
Enfin, le contenu représente l'ensemble de
la matière traitée par le processeur SGML : paragraphe,
tableau, image, etc. L'utilisation de SGML permet donc de
garantir que tous les manuels ont une apparence homogène. Pour
traduire un manuel d'utilisation, un traducteur doit, au
préalable installer l'application à laquelle il se rapporte,
ainsi que sa traduction en français pour que les traductions du
programme et de son manuel soient totalement cohérentes.
L'internationalisation d'une application consiste à traduire dans une langue donnée tous ses éléments graphiques (boîtes de dialogue, barres d'outils, menus...). Pour cela, le développpeur d'application KDE dispose d'une fonction nommée i18n (pour " internationaliza-tion ") qu'il utilise dans son code source pour entourer toute chaîne de caractères susceptible d'apparaître à l'écran. L'outil GNU xgettext est ensuite utilisé pour extraire toutes les chaînes " i18n'isées " du programme. Afin d'assurer un maximum d'homogénéité entre les programmes, un fichier a été créé, qui regroupe les chaînes de caractères les plus courantes (fichier, fenêtre, chercher...) associées à des actions standard, systématiquement exclues du fichier produit par xgettext. Dans ce fichier, le traducteur doit ajouter, pour chaque chaîne, la correspondance dans sa langue natale. Ces traductions seront utilisées dynamiquement par le programme KDE pour construire son interface, après avoir automatiquement chargé le fichier des traductions dans la langue de l'utilisateur. Le principal problème de la traduction d'applications vient de l'utilisation fréquente de messages courts (parfois un seul mot) qui nécessitent parfois plusieurs traductions en français pour un unique message en anglais (souvent à cause du genre des noms). Par exemple, la traduction de " Previous " est " Précédent " ou " Précédente " selon le nom auquel il se rapporte (une image ou un fichier). Les traducteurs doivent donc indiquer aux développeurs les chaînes de caractères qu'il est nécessaire de préciser afin que tous les programmes puissent effectivement être traduits dans toutes les langues.
À deux mois de la date de sortie prévue de KDE 2.0 et KOffice 1.0, l'équipe KDE-Francophone travaille activement à la traduction de ce nouvel environnement, plus puissant et plus complet, et de sa suite de logiciels de bureautique.
Une importante réflexion est menée sur les traductions et les termes employés afin de rendre l'utilisation de KDE aussi simple que possible. La communauté du logiciel libre démontrera donc à nouveau qu'il est possible de disposer d'environnements de qualité gratuits et totalement francisés. C'est aussi une opportunité pour introduire de nouvelles terminologies dans le monde des logiciels, dont les traductions commerciales sont trop souvent bâclées. Pour cela, KDE-Francophone encourage les utilisateurs à envoyer leurs réactions sur la qualité des traductions afin de produire un environnement toujours plus intuitif.
François-Xavier Duranceau, président KDE Francophone
Sites de référence :
KDE : http://www.kde.org/fr/
KOffice : http://www.kde.org/fr/koffice/
KDE francophone : http://i18n.kde.org/ teams/fr
Internationalisation de KDE : http://i18n
.kde.org
Licences GPL/LGPL : http://www.fsf.
org/philosophy/license-list.html
SGML : http://www.sgml.org
DocBook : http://www.docbook.org
LinuxDoc : http://www.linuxdoc.org
GNU xgettext : http://www.gnu.org/man ual/gettext/
Les travaux de lintercollectif DELIS sont disponibles sur la toile depuis mai dernier. Vous y trouverez de linformation sur la transposition de la directive européenne sur les données personnelles, les flux transfrontières de données personnelles, le STIC, linformatisation du système de santé, linformatisation de laction sociale...
Le mot du trésorier
Vous êtes encore quelques-uns à ne pas avoir payé votre cotisation pour lannée 2000. Pensez-y, lannée est bien engagée maintenant ! Merci à vous.
Expertises des systèmes dinformation : n°238, juin 2000 ; n°239, juillet 2000
La lettre dinformation du ministère de la Culture : n°65, 26 avril 2000 ; n°67, 31 mai2000 ; n°68, 20 juin 2000
La Lettre de lADELI : n°40, juillet 2000
Liaisons - AFAL : n°26, mars 2000
Les exclusives de lAFNOR : n°203, 2 mai 2000 ; n°204, 15 mai 2000 ; n°205, 5 juin 2000 ; n°206, 19 juin 2000
Le Journal de lAgence intergouvernementale de la francophonie : n°15, mars-avril 2000
La gazette de la presse francophone : n°94, mai-juin 2000
La lettre de lassemblée parlementaire de la francophonie : n°20, janvier-février 2000
La lettre de la société française de terminologie : n°3, été 2000
Génération francophone - ADIFLOR : n°1, 1er trimestre 2000
Terminometro - La terminologie en Roumanie et République de Moldava
AFNOR - Annuaire des adhérents 2000
AFNOR - Rapport dactivité 1999 : construire ensemble le 21e siècle
AFNOR - Catalogue des normes 2000
Expertises des systèmes dinformation,
n°238
Cybercriminalité - Les États conservent
leur souveraineté.
Protection des données personnelles :
Lionel Jospin promet une transposition rapide, par Sylvie
Rozenfeld.
Le fichier informatisé du STIC.
Réflexions et témoignagnes, un pré-jugement policier, par
Monique Langlet.
Expertises des systèmes dinformation,
n°239
Amendement Bloche : la fin du parcours
- Des diligences appropriées.
Informatique et libertés - Négociations
sur le " Safe Harbour ", Va-t-on
conclure ? Faut-il conclure ?, par Étienne Drouard.
La négligence dans la protection dun
système de traitement automatisé dinformations, par
Philippe Jougleux.
Lien hypertextes : quels risques
juridiques pour les opérateurs de sites web ?, par Thibault
Verbiest.
Lettre dinformation du ministère de
la culture, n°65
Catherine Tasca [ministre de la culture et
de la communication] et Michel Duffour [secrétaire dÉtat
au patrimoine et à la décentralisation culturelle] :
premières orientations. [composition du cabinet]
" Le français sur le bout de la
langue " : le guide Moutard â n°21.
Lettre dinformation du ministère de
la culture, n°67
Langue française - La commission de
terminologie remplace " stock-option " par
" option sur titres ".
Dossier : lEurope, un patrimoine
commun.
Lettre dinformation du ministère de
la culture, n°68
Dossier : les dossiers culturels de la
Présidence française de lUnion européenne.
La lettre de lADELI, n°40
Conduire le changement : présentation
du modèle de processus de Virginia Satir, par Peter de Jager,
traduit par Martine Otter.
Lettres parallèles : Paul Virilio
[" La bombe informatique "] - Pierre Berger
[" Linformatique libère
lhumain "], par Martine Otter.
An 2000, J+180 - Plans de continuité An
2000 : comment sen resservir ?, par Laurent
Hanaud.
e-lettrisme : les nouveaux jeux de
mots, par Alain Coulon.
Liaisons, n°26
Tribune libre - Langue, État et société,
par Stélio Farandjis (secrétaire général du Haut conseil de
la Francophonie).
Les exclusives, n°204
Technologies de linformation -
Position commune du Conseil en vue de ladoption dune
directive européenne sur le commerce électronique. JOCE n°C
128 du 08/05/00.
Les exclusives, n°205
Décret n°2000-405 du ministère de
lIntérieur portant création dun office central de
lutte contre la criminalité liée aux technologies de
linformation et de la consommation. JORF n°113 du
15/05/00.
La gazette, n°94
Maintien du plurilinguisme - Les brevets
" tout-anglais " isolent les PME françaises,
par Jean-Jacques Martin (CNCPI).
21e université
dété de la communication : Liberté, Égalité,
Fraternité !, 21-25 août 2000
Organisé par la Ligue de
lenseignement et le CREPAC dAquitaine, à
Hourtin-Port (33990).
Thèmes : Réflexion sur les valeurs
de la société de linformation ; Pratiques et usages
de la net-société.
Contact : CREPAC dAquitaine -
mél. : c.souchet@crepac.com -
tél. : 05 56 69 62 61 - www.crepac.com
Le dossier dIRIS sur la loi sur la
communication audiovisuelle :
http://www.iris.sgdg.org/actions/loi-comm/declaration.html
Site de Patrick Andries sur Unicode et
lISO/CEI 10646-1:2000 :
http://hapax.iquebec.com
Travaux de recherche et denseignement sur
la terminologie dont ceux des universités de Paris III et Paris
VII :
http://inalf.ivry.cnrs.fr/terminalf
CILF- Gesellschaft fur deutsche sprache :
coopération franco-allemande pour le plurilinguisme en
Europe :
http://www.cilf.org/
Le jeu " Voyage
francophone " :
http://jouer.francophonie.org