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N°39 - juillet 2000

SOMMAIRE
Normalisation des NTIC pédagogiques et création d'un groupe ISO-SC36 à l'AFNOR
La localisation de KDE
Brèves
Revues disponibles
À lire ...
Manifestations
Sites internet ...

Le pilote du groupe de travail sur la problématique de la localisation est Gérard Claës, le joindre à l'adresse électronique gerard.claes@wanadoo.fr ou au 01 60 77 72 06

Normalisation des NTIC pédagogiques et création d’un groupe ISO-SC36 à l’AFNOR

Le JTC1 (Joint Technical Comity), Comité technique commun à l’ISO et à IEC (International Electronic Commission), lieu où se préparent de nombreuses normes qui organisent un univers des NTIC d’années en années plus convergent et intercompatible, vient de démarrer la mise en chantier d’une normalisation des systèmes d’information destinés à l’enseignement et à la formation. En termes concrets, il s’agit de formaliser pour pouvoir le normaliser, un contexte de médiation aujourd’hui complexe et disparate. Le SC36 (Sous Comité du JTC1) est désormais chargé de développer ce programme de travail.
L’ingénierie éducative est un fait inéluctable qu’un certain nombre d’enseignants et de décideurs de l’éducation et de la formation (depuis l’université jusqu'à l’entreprise) ne remettent pas en cause. Il existe en France et dans le monde quantité d’universités virtuelles, de réseaux d’enseignement à distance, de professeurs impliqués dans la médiation pédagogique par les NTIC. Il existe aussi quantité d’entreprises, d’éditeurs multimédia qui produisent des systèmes technologiques et de l’information pédagogique.
L’ingénierie éducative devient une activité mondiale, multinationale, multiculturelle et multilingue étroitement dépendante des NTIC. C’est aussi un domaine économique en pleine expansion. De très nombreux éditeurs, réseaux câblés, chaînes hertziennes... se sont spécialisés dans ce secteur. On peut surtout penser que la logique de développement informationnel devrait permettre à moyen terme de développer de la formation interactive attachée à de très nombreux produits et services (de l’ordinateur au paquet de nouilles en passant par le tourisme, l’environnement...), disponibles en tout lieu et à toute heure (par exemple sur le téléphone portable).
Ces perspectives imposent que l’ingénierie éducative dépasse sa phase de " bricolage singulier ", qu’elle s’organise et se structure notamment dans le cadre d’Internet et de l’information structurée. L’enseignement assisté par ordinateur ou à distance a besoin d’organiser ses ressources, ses forces de travail, ses pôles de production, ses méthodes, ses réseaux.

Normaliser l’ingénierie éducative c’est effectivement créer le cadre fonctionnel, formel, structurel, mais aussi qualitatif et sémantique qui permettra d’organiser et de faire fonctionner toute tâche pédagogique, mais aussi de mettre en relation un collège d’enseignants (et/ou) d’apprenants, d’établir la communication, d’encadrer les évaluations, d’organiser les routines d’apprentissage, d’établir des profils d’apprenants, de proposer des stratégies d’acquisition de savoir...
Ce sera aussi, créer des architectures logiques et documentaires qui permettront de gérer et d’utiliser d’immenses patrimoines de supports d’enseignement découpés en modules, voire en grains de pédagogie médiatisée, et ce de façon multidisciplinaire, multimodale, multimédia, multilingue, organisée en niveaux et disponible sur réseaux de façon planétaire. Ceci devient d’année en année plus crédible, puisque se créent des univers de description, des données balisées tant au niveau structurel, que sémantique et qu’à celui des références. Il faut toutefois signaler que le SC36, distingue bien par méthode ce qui est de l’ordre de la médiation pédagogique proprement dite, de ce qui est de l’ordre des ressources et contenus que ces systèmes devront savoir mobiliser et organiser pédagogiquement, mais qui relèveront sur le plan normatif de la bureautique (SC18 du JTC1) et de la documentation (TC46 de l’ISO).
Ce sera enfin organiser le cadre technomédiatique a priori ou en fonction des besoins directement détectés par l’application. Il faut savoir qu’aujourd’hui cette activité d’organisation technomédiatique de la pédagogie multimédia utilise malheureusement une proportion bien trop importante du temps de l’enseignant ou du formateur impliqué dans la pédagogie par NTIC.

Le terme de normalisation effraye à bon droit nombre d’enseignants (ou même de formateurs) qui contrairement aux spécialistes des systèmes d’information entendent normes au sens restrictif du terme et non comme un cadre ouvert permettant de définir de façon diversifiée et articulée un grand nombre de fonctionnalités, y compris contradictoire, soumises à définition normative. C’est sur ces bases que s’organise ensuite (comme cela s’est déjà fait pour le texte et pour l’image) un cadre d’industrialisation cohérente et interopérable permettant de produire à terme de 5 à 10 ans, des stations (ou des logiciels ou des composants) de médiation pédagogique en très grand nombre et à très bas coût.

On peut ainsi penser qu'un effort conceptuel important doit être entrepris par la communauté des pédagogues en interaction avec les acteurs techniques des NTIC, pour proposer une articulation ouverte :

Ceci signifie concrètement que le processus d’évaluation de l’apprenant sur un CD-ROM du commerce pourrait se raccorder au système institutionnel mis en oeuvre dans un collège ou une université. Cela signifie aussi que deux CD-ROM aujourd'hui absolument incompatibles, puissent être mis en œuvre en synergie dans des systèmes de médiation d'enseignement.

Le résultat le plus probant serait que tous les enseignants et formateurs, qui aujourd'hui dépensent une part très importante de leur énergie à organiser et à maîtriser un environnement NTIC pour médiatiser leurs contenus d’enseignement puissent au terme de l’aboutissement des travaux du SC36 se consacrer presque exclusivement à la création et à l'édition de ressources pédagogiques et à conserver plus de temps en face à face avec l’étudiant.

La place de l'Europe, et de la France en particulier, n’est pas négligeable à ce jour. Nous avons déjà fait entendre notre voix avec des résultats concrets. Le SC36-ISO auquel est directement associé le CEN-ISSS (européen), centralise à ce jour un certain nombre de propositions concrètes de travail relatives aux architectures de système et de médiation pédagogique (Allemagne), aux interfaces homme/machine (États-Unis), aux vocabulaires (Ukraine), et à la pédagogie collaborative (Japon).

Le SC36 n'est certainement pas une panacée universelle. C'est le produit d'un consensus raisonnable, mondial et inéluctable.
On peut imaginer le sentiment dubitatif de ceux, qui jusqu'à ce jour, ont consacré une part importante de leur énergie universitaire, à construire des centres de ressources et des réseaux de diffusion de l'enseignement médiatisé et à distance.
Pour ceux qui ne s'y attendaient pas, SC36 doit faire l'effet d'un cataclysme.
L'échiquier politique est brutalement recomposé à l'échelle mondiale, interprofessionnelle, interlinguistique, interculturelle...
Mais ces grands réseaux, ces grands opérateurs n’ont aucune crainte à avoir, si ce n'est celle de ne pas " rater le bateau " qui ne repassera pas.

C’est pourquoi les décisions que pourront prendre les professionnels français de la pédagogie tant enseignant, que formateurs, qu’éditeurs ou industriels à travers leur participation au " groupe miroir Afnor du SC36 " sont fondamentales et urgentes. On aura remarqué que les enjeux linguistiques et culturels sont fondamentaux dans ce type de développement normatif.

Les personnes et les institutions intéressées peuvent s’adresser au Gemme (courriel : azgemme@ext.jussieu.fr), à Françoise Kandl, IBM France (courriel : fkandl@ibm.com), ou à l’Afnor (courriel : jean-francois.legendre@email.afnor .fr).
La prochaine rencontre internationale de la communauté SC36 aura lieu à Albuquerque au Nouveau Mexique (États Unis) les 19, 20 et 21 septembre 2000.

Henri Hudrisier (Université Paris 8)

La localisation de KDE

Le projet KDE (K Desktop Environment) a été initié en Allemagne, en octobre 1996, par un groupe d'étudiants de l'Université de Tübingen (Allemagne), regroupés autour de Matthias Ettrich. KDE est un environnement de travail graphique complet qui met à disposition des utilisateurs une offre logicielle très variée (multimédia, graphisme, édition, accès à l'internet, outils de développement...). Ces programmes sont des logiciels libres (sous licence GPL et LGPL) : ils sont disponibles gratuitement et peuvent être librement modifiés, tant pour le code source que pour les fichiers de traduction. Très rapidement, ce projet a pris une envergure internationale et a suscité un immense intérêt des utilisateurs et des développeurs. Du fait qu'il a été lancé par des Européens, KDE a bénéficié d'une attention particulière quant à la nécessité d'une internationalisation et d'une localisation de l'environnement pour une langue et un pays donnés. Installé comme environnement graphique de travail par défaut par la très grande majorité des distributions Linux, KDE est disponible en 32 langues, applications et manuels d'utilisation compris.

Dès la sortie des premières versions beta, un important effort de traduction de KDE en français a été entrepris, qui n'a cessé de se développer : le français est reconnu comme une des langues prioritaires, à tel point que l'absence de traduction en français peut entraîner le retard de sortie d'une version officielle. Sous son appellation actuelle " KDE-Franco-phone ", notre équipe a pris depuis ces dix-huit derniers mois un essor décisif. L'arrivée de nouveaux contributeurs nous permet désormais d'envisager des actions ambitieuses (promotion de KDE et des logiciels libres, rédaction d'un dossier de presse pour la sortie de KDE 2.0, réalisation de supports de présentation et de formation autour de Linux et KDE...). Ces projets, qui n'étaient pas envisageables il y a moins d'un an, ne représenteront néanmoins, qu'une activité annexe de KDE-Francophone, dont l'objectif principal reste la traduction et la localisation en français de l'intégralité de KDE. La tâche est immense, mais accomplie avec enthousiasme par des bénévoles motivés, pendant leur temps libre. Actuellement, KDE-Francophone est composé d'une vingtaine de membres actifs, issus d'horizons professionnels et géographiques divers. Les informaticiens y sont d'ailleurs minoritaires, ce qui permet un meilleur recul dans les travaux de traduction, chacun apportant ses idées et ses compétences dans différents domaines.

KDE-Francophone est organisé autour de deux pôles de traduction fondamentaux : les applications KDE et leurs manuels d'utilisation.

Ces deux sous-équipes sont structu-rées et fonctionnent d'une façon identique. Un coordinateur a pour mission d'être l'interface entre les traducteurs et le référentiel CVS : il attribue les fichiers originaux (en anglais) et, après réception du fichier traduit, l'intègre dans le référentiel (le serveur sur lequel sont regroupés tous les fichiers qui composent KDE). Cette organisation stricte est nécessaire pour garantir qu'une seule et unique personne a la charge d'un fichier donné à un moment donné. Les concertations et débats entre traducteurs ont lieu dans une liste de discussion : kde-francophone@egroups.fr, qui constitue le point de rendez-vous initial pour proposer ses services de traducteur, poser une question, s'informer sur les choix de traduction existants ou sur la bonne méthode pour travailler sur un fichier. Un dictionnaire a aussi été élaboré pour rendre les traductions aussi homogènes que possible ; il est enrichi au fur et à mesure que les problèmes sont rencontrés et sert même de référence pour l'internationalisation d'autres logiciels libres.

Généralement, toute application KDE possède un manuel d'utilisation qui décrit ses principales fonctionnalités.
Celui-ci est disponible sous plusieurs formats mais la version HTML est la plus utile car il est possible de la consulter directement dans le système d'aide de KDE. Le manuel original est rédigé en anglais au format SGML (Standard Generalized Markup Language).
SGML n'est pas un langage où le formatage du document est directement écrit dans le fichier. Au contraire, des balises sont utilisées pour indiquer le type de contenu et le fichier SGML est ensuite converti dans un format réellement consultable par l'utilisateur : HTML pour une lecture en ligne, PostScript pour un impression de haute qualité, etc.
SGML est en fait composé de trois parties. La structure, appelée DTD (Document Type Definition) définit les balises à utiliser pour les relations entre chaque élément. La DTD LinuxDoc utilisée pour les manuels de KDE 1.x a été abandonnée au profit de la DTD DocBook, plus riche et reconnue comme un standard de l'industrie.
La feuille de style DSSSL (Document Style Semantics and Specification Language) indique comment convertir un fichier SGML dans un format visualisable (HTML, PostScript...). Par exemple, le fichier DSSSL indique qu'il faut convertir la balise SGML <table> en <h1> pour un rendu HTML ou " gras, 14 points " pour un rendu RTF. Les manuels d'utilisation de KDE utilisent une feuille de style spécifique qui ajoute des éléments particuliers, comme le logo de KDE.
Enfin, le contenu représente l'ensemble de la matière traitée par le processeur SGML : paragraphe, tableau, image, etc. L'utilisation de SGML permet donc de garantir que tous les manuels ont une apparence homogène. Pour traduire un manuel d'utilisation, un traducteur doit, au préalable installer l'application à laquelle il se rapporte, ainsi que sa traduction en français pour que les traductions du programme et de son manuel soient totalement cohérentes.

L'internationalisation d'une application consiste à traduire dans une langue donnée tous ses éléments graphiques (boîtes de dialogue, barres d'outils, menus...). Pour cela, le développpeur d'application KDE dispose d'une fonction nommée i18n (pour " internationaliza-tion ") qu'il utilise dans son code source pour entourer toute chaîne de caractères susceptible d'apparaître à l'écran. L'outil GNU xgettext est ensuite utilisé pour extraire toutes les chaînes " i18n'isées " du programme. Afin d'assurer un maximum d'homogénéité entre les programmes, un fichier a été créé, qui regroupe les chaînes de caractères les plus courantes (fichier, fenêtre, chercher...) associées à des actions standard, systématiquement exclues du fichier produit par xgettext. Dans ce fichier, le traducteur doit ajouter, pour chaque chaîne, la correspondance dans sa langue natale. Ces traductions seront utilisées dynamiquement par le programme KDE pour construire son interface, après avoir automatiquement chargé le fichier des traductions dans la langue de l'utilisateur. Le principal problème de la traduction d'applications vient de l'utilisation fréquente de messages courts (parfois un seul mot) qui nécessitent parfois plusieurs traductions en français pour un unique message en anglais (souvent à cause du genre des noms). Par exemple, la traduction de " Previous " est " Précédent " ou " Précédente " selon le nom auquel il se rapporte (une image ou un fichier). Les traducteurs doivent donc indiquer aux développeurs les chaînes de caractères qu'il est nécessaire de préciser afin que tous les programmes puissent effectivement être traduits dans toutes les langues.

À deux mois de la date de sortie prévue de KDE 2.0 et KOffice 1.0, l'équipe KDE-Francophone travaille activement à la traduction de ce nouvel environnement, plus puissant et plus complet, et de sa suite de logiciels de bureautique.

Une importante réflexion est menée sur les traductions et les termes employés afin de rendre l'utilisation de KDE aussi simple que possible. La communauté du logiciel libre démontrera donc à nouveau qu'il est possible de disposer d'environnements de qualité gratuits et totalement francisés. C'est aussi une opportunité pour introduire de nouvelles terminologies dans le monde des logiciels, dont les traductions commerciales sont trop souvent bâclées. Pour cela, KDE-Francophone encourage les utilisateurs à envoyer leurs réactions sur la qualité des traductions afin de produire un environnement toujours plus intuitif.

François-Xavier Duranceau, président KDE Francophone

Sites de référence :
•KDE : http://www.kde.org/fr/
•KOffice : http://www.kde.org/fr/koffice/
•KDE francophone : http://i18n.kde.org/ teams/fr
•Internationalisation de KDE : http://i18n .kde.org
•Licences GPL/LGPL : http://www.fsf. org/philosophy/license-list.html
•SGML : http://www.sgml.org
•DocBook : http://www.docbook.org
•LinuxDoc : http://www.linuxdoc.org
•GNU xgettext : http://www.gnu.org/man ual/gettext/

Brèves...

http://www.delis.sgdg.org

Les travaux de l’intercollectif DELIS sont disponibles sur la toile depuis mai dernier. Vous y trouverez de l’information sur la transposition de la directive européenne sur les données personnelles, les flux transfrontières de données personnelles, le STIC, l’informatisation du système de santé, l’informatisation de l’action sociale...

Le mot du trésorier

Vous êtes encore quelques-uns à ne pas avoir payé votre cotisation pour l’année 2000. Pensez-y, l’année est bien engagée maintenant ! Merci à vous.

Revues disponibles

Expertises des systèmes d’information : n°238, juin 2000 ; n°239, juillet 2000

La lettre d’information du ministère de la Culture : n°65, 26 avril 2000 ; n°67, 31 mai2000 ; n°68, 20 juin 2000

La Lettre de l’ADELI : n°40, juillet 2000

Liaisons - AFAL : n°26, mars 2000

Les exclusives de l’AFNOR : n°203, 2 mai 2000 ; n°204, 15 mai 2000 ; n°205, 5 juin 2000 ; n°206, 19 juin 2000

Le Journal de l’Agence intergouvernementale de la francophonie : n°15, mars-avril 2000

La gazette de la presse francophone : n°94, mai-juin 2000

La lettre de l’assemblée parlementaire de la francophonie : n°20, janvier-février 2000

La lettre de la société française de terminologie : n°3, été 2000

Génération francophone - ADIFLOR : n°1, 1er trimestre 2000

Terminometro - La terminologie en Roumanie et République de Moldava

AFNOR - Annuaire des adhérents 2000

AFNOR - Rapport d’activité 1999 : construire ensemble le 21e siècle

AFNOR - Catalogue des normes 2000

À lire ...

Expertises des systèmes d’information, n°238
Cybercriminalité - Les États conservent leur souveraineté.
Protection des données personnelles : Lionel Jospin promet une transposition rapide, par Sylvie Rozenfeld.
Le fichier informatisé du STIC. Réflexions et témoignagnes, un pré-jugement policier, par Monique Langlet.

Expertises des systèmes d’information, n°239
Amendement Bloche : la fin du parcours - Des diligences appropriées.
Informatique et libertés - Négociations sur le " Safe Harbour ", Va-t-on conclure ? Faut-il conclure ?, par Étienne Drouard.
La négligence dans la protection d’un système de traitement automatisé d’informations, par Philippe Jougleux.
Lien hypertextes : quels risques juridiques pour les opérateurs de sites web ?, par Thibault Verbiest.

Lettre d’information du ministère de la culture, n°65
Catherine Tasca [ministre de la culture et de la communication] et Michel Duffour [secrétaire d’État au patrimoine et à la décentralisation culturelle] : premières orientations. [composition du cabinet]
" Le français sur le bout de la langue " : le guide Moutard â n°21.

Lettre d’information du ministère de la culture, n°67
Langue française - La commission de terminologie remplace " stock-option " par " option sur titres ".
Dossier : l’Europe, un patrimoine commun.

Lettre d’information du ministère de la culture, n°68
Dossier : les dossiers culturels de la Présidence française de l’Union européenne.

La lettre de l’ADELI, n°40
Conduire le changement : présentation du modèle de processus de Virginia Satir, par Peter de Jager, traduit par Martine Otter.
Lettres parallèles : Paul Virilio [" La bombe informatique "] - Pierre Berger [" L’informatique libère l’humain "], par Martine Otter.
An 2000, J+180 - Plans de continuité An 2000 : comment s’en resservir ?, par Laurent Hanaud.
e-lettrisme : les nouveaux jeux de mots, par Alain Coulon.

Liaisons, n°26
Tribune libre - Langue, État et société, par Stélio Farandjis (secrétaire général du Haut conseil de la Francophonie).

Les exclusives, n°204
Technologies de l’information - Position commune du Conseil en vue de l’adoption d’une directive européenne sur le commerce électronique. JOCE n°C 128 du 08/05/00.

Les exclusives, n°205
Décret n°2000-405 du ministère de l’Intérieur portant création d’un office central de lutte contre la criminalité liée aux technologies de l’information et de la consommation. JORF n°113 du 15/05/00.

La gazette, n°94
Maintien du plurilinguisme - Les brevets " tout-anglais " isolent les PME françaises, par Jean-Jacques Martin (CNCPI).

Manifestations

21e université d’été de la communication : Liberté, Égalité, Fraternité !, 21-25 août 2000
Organisé par la Ligue de l’enseignement et le CREPAC d’Aquitaine, à Hourtin-Port (33990).
Thèmes : Réflexion sur les valeurs de la société de l’information ; Pratiques et usages de la net-société.
Contact : CREPAC d’Aquitaine - mél. : c.souchet@crepac.com - tél. : 05 56 69 62 61 - www.crepac.com

Sites internet ...

Le dossier d’IRIS sur la loi sur la communication audiovisuelle :
http://www.iris.sgdg.org/actions/loi-comm/declaration.html

Site de Patrick Andries sur Unicode et l’ISO/CEI 10646-1:2000 :
http://hapax.iquebec.com

Travaux de recherche et d’enseignement sur la terminologie dont ceux des universités de Paris III et Paris VII :
http://inalf.ivry.cnrs.fr/terminalf

CILF- Gesellschaft fur deutsche sprache : coopération franco-allemande pour le plurilinguisme en Europe :
http://www.cilf.org/

Le jeu " Voyage francophone " :
http://jouer.francophonie.org

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