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N°25 - mars 1998

SOMMAIRE
Éditorial
Les décisions du CA
Terminologie
La table ronde : " consommateurs et informatique "
An 2000 et millénarisme
Revues disponibles
À lire ...
Manifestations
Sites internet ...

Sommaire Éditorial

Pour une action francophone de l'AILF

L'AILF a participé à la semaine de la langue française et de la Francophonie notamment en organisant une table ronde avec les associations de consommateurs sur le respect de la langue française dans le domaine des produits et services des technologies de l'information et de la communication.

Mais qu'est la francophonie pour notre association ?

Un espace géographique fait de peuples qui ont en commun l'utilisation de la langue française comme langue officielle dans leur pays ?

Un espace géographique issu d'une histoire où se mêle à la fois des faits d'armes, la conquête coloniale, le rayonnement culturel de la France, l'usage du français dans les domaines diplomatique et juridique, ... ?

Une cinquantaine de pays et cinq cents millions de personnes qui rendent compte de quelle réalité :

- un marché privilégié pour des industriels et commerçants sachant utiliser le français ?

- un groupe de pression politique pour peser sur des décisions d'organisations internationales ?

- une identité linguistique qui garantit la reconnaissance de peuples confrontés à la mondialisation, à l'envahissement et à l'hégémonie d'une " voix unique " ?

- une reconnaissance de la diversité culturelle d'un monde plurilingue qui aurait tout à perdre à ne plus utiliser ce qui enrichit la communication entre les hommes ?

La francophonie peut être tout cela à la fois.

Pour l'AILF, la francophonie c'est avant tout utiliser la langue française dans un monde plurilingue pour créer des concepts et des produits, les diffuser dans le respect des formes terminologiques et terminographiques requises, sur les supports les plus divers et notamment sur internet en attendant les inforoutes.

Notre activité dans ce domaine pourrait se développer selon plusieurs axes :

Les hispanophones ont de grandes ambitions de part leur poids dans le monde en nombre de locuteurs. La notion de francophone est mal perçue par les germanophones et les anglophones pour des raisons et dans des contextes historiques tout-à-fait différents.

Nous ne pouvons avoir l'ambition d'être des acteurs déterminants dans des domaines qui relèvent tout à la fois de la géopolitique, de l'économie et de la culture. Toutefois des événements mondiaux comme l'amplification d'internet et les problèmes de normalisation peuvent être l'occasion de participer à des actions avec des partenaires identifiés ou non.

LexiPraxi 98 pourrait se construire sur ce thème de réflexion et d'action avec comme objectif de mettre en perspective ce que l'association aura pu initier au cours de l'année dans le but de faire de la francophonie le troisième pôle d'activité de l'AILF, conformément aux décisions prises lors de la dernière assemblée générale.

Karl Crochart

SommaireLes décisions du CA

Les mardis de l'AILF

Il a été décidé lors du conseil d'administration du 12 février 1998 d'instituer les mardis de l'AILF.

Nous organisons une réunion de travail et d'information le premier mardi de chaque mois à 18 heures 30 pendant une heure et demie.

Les premières réunions ont été réservées à la présentation des activités et de l'avancement de chaque groupe de travail.

Au programme le mardi 3 mars 1998 : la table ronde " consommateurs ", la plaquette de présentation de la loi du 4 août 1994, les fiches pratiques et la terminologie.

Le mardi 7 avril 1998 : la localisation, l'informatique et les libertés, et l'éthique.

Le mardi 5 mai 1998 : LexiPraxi 98 et la francophonie.

Le mardi 2 juin 1998 : histoire et épistémologie, et la représentation des informaticiens français dans le contexte associatif actuel.

Venez nous rejoindre pour contribuer à ces travaux !

Le local de l'AILF

Il a été décidé lors du conseil d'administration du 26 mars 1998 de louer des locaux pour notre association.

Nous avons signé le 1er avril 1998 une convention avec l'association Maison de toutes les chimères (MTLC), domiciliée 21 ter rue Voltaire à Paris 11e.

Ainsi nous partageons un bureau et une salle de réunion au second étage du Centre International de Culture Populaire (CICP). Notre siège social et notre adresse postale restent identiques.

Nos réunions à venir se tiendront donc à cette nouvelle adresse. Mémorisez la : 21 ter rue Voltaire.

Annie Marcheix

SommaireTerminologie

Extraits du compte rendu de la réunion du groupe terminologique du 31 mars 1998.

Suite à une directive du ministère de la culture, la Commission Spécialisée des Technologies de l'Information et de la Communication (CSTIC) travaille actuellement, sur une liste de termes relatifs à internet, sachant qu'un délai de six mois a été imparti pour en venir à bout.

François Gondard s'inscrit sur la liste de diffusion de la CSTIC et transmettra au groupe de travail AILF la synthèse des échanges qu'il y observera. Par le même canal, il alimentera les sous-commissions CSTIC ad hoc avec le résultat des travaux du groupe AILF.

Des réunions de travail ont été programmées les mardis 12 mai, 30 juin et 25 août 1998.

La liste des termes à l'étude à la CSTIC est composée comme suit.

Les termes liés à internet : applet, bookmark, browser, chat, cookies, drag and drop, frame, hacker, home page, hotlist, hypertext, link, news, newsgroup, plug-in, smiley, thread, multithread, viewer [reader (Acrobat)], webmaster.

Parmi les autres termes : DVD.

Venez travailler avec nous le groupe est ouvert à toutes les bonnes volontés.

François Gondard

SommaireLa table ronde : " consommateurs et informatique "

Extraits du compte rendu, l'intégralité du texte est éditée dans l'À propos n°4.

La table ronde s'est tenue le 17 mars 1998 à la DGLF (délégation générale à la langue française). Des associations de consommateurs sont venues échanger leurs points de vue avec les associations de défense de la langue française, la DGCCRF (direction générale de la consommation, de la concurrence et de la répression des fraudes) et la DGLF. Les échanges ont porté sur les éléments législatifs et réglementaires, l'appréhension du périmètre des domaines qu'il convient de traiter, et la tactique à adopter.

La loi du 4 août 1994 sur l'usage du français doit être associée dans le contexte qui nous préoccupe avec le code de la consommation. Le poids et l'expérience dans ce domaine de la DGCCRF sont déterminants pour le succès des opérations à venir. Ce contexte légal et réglementaire permet de tracer une première limite entre les actions menées à destination du grand public et les actions concernant les professionnels. Dans ce dernier cas, l'articulation avec le code du travail sera indispensable.

Le développement de la micro-informatique dans les foyers fait sortir l'informatique du cadre strictement professionnel. Les jeux électroniques font également partie du champ à traiter à cause de leur impact sur les jeunes du point de vue de la langue et de la culture.

Du point de vue du grand public les problèmes posés par la vente et le service après-vente des matériels et logiciels sont complexes.

La qualité de service offerte au consommateur pour ce qui concerne l'emploi de la langue française n'est pas uniforme et homogène tant pour la documentation que pour les aides en ligne des logiciels. On voit se dessiner une véritable chaîne des responsabilités qui va du revendeur, au distributeur, aux fabricants de matériel et de logiciel.

Il faut surtout tenir compte du comportement du consommateur. Il a tendance à acheter le moins cher. À l'opposé le fait d'être confronté à de l'anglais peut être un stimulant pour certains consommateurs, surtout les jeunes, et cela n'a pas que des effets totalement négatifs.

Internet a créé une nouvelle situation de confrontation à des langues étrangères. L'un des principaux problèmes porte sur l'application de la loi relative à l'usage du français pour des sites qui se trouvent en dehors du territoire.

De façon plus générale, le problème est celui de la nouvelle " situation historique " où la grande masse des consommateurs français, et non pas une minorité, se trouve confrontée concrètement à une langue étrangère dans la vie quotidienne.

Un débat animé a eu lieu sur la tactique à adopter. La tactique de la pédagogie, tant vis-à-vis des professionnels de la distribution que des consommateurs, est apparue comme préférable ; la sanction légale étant invoquée à titre dissuasif et utilisée en dernier recours et à bon escient dans un but d'exemplarité.

Tous les participants ont manifesté leur soutien pour cette première initiative de table ronde entre différents partenaires sur ce sujet. Le principe d'un travail efficace réalisé en réseau, à la mesure des moyens de chacun, est adopté.

Une réunion aura lieu avec les professionnels de la distribution et les industriels le 18 juin à 9 heures à la DGLF. Les thèmes esquissés sont les suivants :

L'accent sera mis sur la langue comme vecteur de la qualité. L'AILF contacte les associations professionnelles concernées...

Yvon Rastetter

SommaireAn 2000 et millénarisme

Si les peurs de l'an Mil, telles qu'on nous les a décrites dans nos manuels scolaires, ne sont, comme il a été prouvé depuis, qu'une invention des historiens romantiques da la première moitié du XIXe siècle, la crainte du passage prochain au troisième millénaire, loin de toute préoccupation eschatologique, est quant à elle tout à fait fondée tant notre société est dépendante du bon fonctionnement d'une informatique qui a trop longtemps éludé les conséquences de l'utilisation de dates tronquées, où l'année n'est représentée que par deux chiffres. Mais au fait, le 1er janvier 2000 marquera-t-il le réellement l'entrée dans le troisième millénaire?

La réponse est catégorique, non! Dans le système que nous utilisons aujourd'hui pour nous repérer dans le temps et qui n'a que quatre siècles d'existence , les dates de notre ère sont comptées à partir de l'an 1 et celles de l'ère précédente, à partir de l'an -1. Il n'y a pas d'année 0 pour les chronologistes et, selon cette convention, le troisième millénaire ne commencera donc qu'au 1er janvier 2001.

Car c'est bien d'une pure convention dont il s'agit, et même si elle a été adoptée par une immense majorité de nations, rien n'interdit d'utiliser d'autres règles pour mesurer le temps. Un peu d'histoire est nécessaire pour aborder cette question.

Le besoin de se repérer dans le temps remonte aux plus lointaines de nos sociétés. Il se manifesta dès que nos ancêtres ne purent plus se contenter de vivre au jour le jour mais éprouvèrent la nécessité de se fixer des échéances et d'anticiper sur le retour des saisons, tant pour des raisons, souvent mêlées, matérielles que spirituelles. Sur tous les continents, sous toutes les latitudes, c'est dans le ciel que les hommes trouvèrent leurs premiers repères temporels, et le cycle le plus immédiatement observable, après l'alternance du jour et de la nuit, était, et reste, celui de la lune.

Rien d'étonnant alors à ce que tous les calendriers aient eu pour bases les phases de la lune et il n'y a pas à chercher plus loin notre notion de mois . Mais si la lunaison était un mètre qui convenait à beaucoup d'activités de l'homme, d'autres ne savaient sans contenter, d'où le concept d'année, lié au retour des saisons et des constellations .

Très tôt on a su mesurer la durée moyenne du mois lunaire et les calendriers purement lunaires, en alternant les mois de 29 et 30 jours et en ajoutant un jour supplémentaire à certaines années, ont pu sans encombre traverser les siècles. La détermination de la durée d'une année solaire est moins évidente et les premiers calendriers se référant à ce rythme souffrirent de l'imprécision de cette mesure, d'autant plus laborieuse qu'elle ne correspond pas à un nombre exact de jours ni de lunaisons (il n'y aurait d'ailleurs aucune raison à cela). C'est en constatant un décalage progressif de l'apparition des saisons et de certains phénomènes astronomiques par rapport au début de l'année que l'on fut amené progressivement à corriger sa durée.

Au début de notre ère, Jules César imposa à l'ensemble du monde romain l'usage d'un calendrier purement solaire, consacrant les années bissextiles, et portant encore son nom (le calendrier julien). Au fil des siècles cependant, on fut bien obligé de s'apercevoir qu'une dérive, de l'équinoxe de printemps par exemple, subsistait. Il fallut toutefois attendre le XVIe siècle pour que l'on décide de ne plus considérer comme bissextiles, les années séculaires sauf celles dont le nombre de siècles serait divisible par quatre, et en même temps, de supprimer 10 jours à l'année en cours. Ce fut la réforme grégorienne (cf. note 1), promptement adoptée dans les pays latins (l'année même en France), longtemps après dans les pays réformés , et mise en pratique seulement au début de notre siècle dans l'ex URSS et les pays d'obédience orthodoxe orientale.

Si naturelle que nous soit l'utilisation du calendrier grégorien, certaines nations ont préféré garder le calendrier propre à leur culture. Dans beaucoup de pays musulmans on continue d'utiliser un calendrier purement lunaire dont le premier jour de l'an 1 (début de l'Hégire) correspond au 16 juillet 622. Le 1er janvier 2000 sera, pour les musulmans, le 24ème jour du mois de ramadan de l'an 1420. Pour les israélites, qui utilisent encore un calendrier luni-solaire pour déterminer la date de leurs fêtes (les chrétiens aussi soit dit en passant), cette même journée se situera le23ème jour du mois de tébeth 5760.

Ajoutons, pour parachever cette démythification du changement de millénaire, que la fixation du début de l'année civile française au 1er janvier, également pure convention, est contemporaine, quoiqu'un peu antérieure, de la réforme grégorienne. Toutes les époques ou presque ont été tour à tour choisies par les peuples pour marquer cet événement, en fonction de leurs croyances et des conditions locales. Mais sans doute ne vivons-nous pas unique-ment de raison pure et peut-être qu'en ne résistant pas à l'attrait de ces trois zéros que l'on fait briller devant nos yeux, ne faisons nous que satisfaire un besoin impérieux.

Notes

1 Notre calendrier actuel a été introduit par le pape Grégoire XIII en 1582, d'où son nom de calendrier grégorien.

2 Si en anglais (month et moon) ou en allemand (mond et monat) la filiation entre lune et mois est indubitable, en français, il faut remonter au delà du latin mens (à la fois mois et mesure) jusqu'à la racine archaïque me qui désigne notre satellite. Signalons en passant le mot almanach d'origine arabe ou l'on retrouve après al l'article, man la lune dans les langues orientales.

3 Année vient d'annus, parent d'annulus, l'anneau, par référence à la couronne zodiacale.

4 Pour mettre fin aux abus de pouvoir des Pontifes, qui avaient seuls autorité sur le calendrier, et remettre de l'ordre dans une chronologie malmenée, il fit venir d'Alexandrie et prit pour conseiller, l'astronome grec Sosigène.

5 L'Angleterre et la Suède ne se sont alignées qu'en 1752. ´†Les protestants, disait Képler, aiment mieux être en désaccord avec le soleil, que d'accord avec le pape†ª.

6 Un treizième mois est ajouté certaines années (dites embolismiques) pour recaler l'année sur le soleil.

Bibliographie
· Bénichou Hélène : Fêtes et calendriers (Mercure de France)
· Blanc André : L'homme emprisonne le temps (Les belles lettres)
· Clébert Jean-Paul : Histoire de la fin du monde (Belfond)
· Couderc Paul : Le calendrier (PUF)
· Ifrah Georges : Histoire universelle des chiffres (Robert Laffont)
· Maiello Francesco : Histoire du calendrier (Editions du Seuil)
· Annuaire du bureau des longitudes (Gauthier-Villars)

François Gondard

SommaireRevues disponibles au secrétariat

La lettre de l'ADELI
n°30, janvier 98

Liaisons : revue des associations ayant le français en partage
n°17, décembre 1997

La dépêche : lettre de Bruxelles Français Cœur de l'Europe
n°27 janvier 1998

Expertises des systèmes d'information
n°211, janvier 1998
n°212, février 1998
n°213, mars 1998

La lettre circulaire bi-annuelle : Haut Conseil de la Francophonie
janvier 1998

Liens francophones
n°20, janvier 1998

La lettre d'information du Ministère de la Culture
n°21, 14 janvier 1998
n°22, 28 janvier 1998
n°23, 11 février 1998
n°24, 25 février 1998

La gazette de la presse francophone
n°83, décembre 1997-janvier 1998

Terminal
n° 74, été-automne 1997

Vous pouvez obtenir ces revues en vous adressant à Annie Marcheix.

SommaireÀ lire ...

Lettre de l'ADELI, n°30
Voici la débabélisation ... / Here the debabelisation ...
[la traduction du texte en français a été réalisée avec le logiciel Systran sur le site http://babelfish.altavista.digital.com/cgi-bin/translate. Nous trouvons la traduction représentative des difficultés bien identifiées à ce jour, quelques faux sens font sourire et des ambiguïtés n'ont pû être levées par le logiciel].
L'économie française vue comme un système d'information.
Réseau sémantique universel... et logique floue.

Expertises des systèmes d'information, n°211
Legifrance : un web citoyen en février 1998.
Cryptologie et droit : chiffrement, tiers de confiance, signature électronique et interceptions, les gouvernements et les internautes sont-ils myopes ?, par N. Ros de Lochounoff
Bases de données comportementales sur les consommateurs et CNIL, par J. Frayssinet.

Expertises des systèmes d'information, n°212
" Informatique et libertés " : 20 ans de vigilance commune.

www.cnil.fr : pédagogie par l'exemple.
[voir sur ce site la rubrique " vos traces : découvrez comment vous êtes pisté sur Internet "].
20ème anniversaire de la loi du 6 janvier 1978 : la CNIL commente ses vingt grandes délibérations.

Expertises des systèmes d'information, n°213
L'exception française et la cryptologie : le chant du signe ?, par O. Debouzy et T. Samman
Virus informatiques - Généricité contre polymorphisme : mise en perspective des avancées en la matière, par D. Guinier.

Lettre d'information du ministère de la culture, n°21
La société de l'information : un défi pour l'Europe.

Lettre d'information du ministère de la culture, n°22
Une politique culturelle ambitieuse pour les nouveaux réseaux [les mesures prises par le ministère de la culture et de la communication suite au programme d'action gouvernemental pour préparer l'entrée de la France dans la société de l'information].
La langue française à travers les âges.

Lettre d'information du ministère de la culture, n°23
La langue française à l'épreuve des nouvelles technologies : bilan du salon Expolangues (Paris 28 janvier - 1er février 1998).

Lettre d'information du ministère de la culture, n°24
Une exception culturelle à défendre : l'accord multilatéral sur l'investissement.

Terminal, n°74
La téléphonie mobile, les nouveaux défis de la micro-informatique, concurrence innovation et stratégies d'appropriation de l'IST, le groupware : vers une transformation des collectifs de travail.

Annie Marcheix

SommaireManifestations

I Congrès de l'Association espagnole de linguistique cognitive (AELiCo), 4-6 mai 1998
à la Facultad de Filosof'a y Letras / Universidad de Alicante / Ctra. San Vicente s/n. / 03590-Alicante / Espagne.
Contact : José Luis Cifuentes Honrubia, I Congreso de AELiCo, Depto. Filolog'a Española, Lingü'stica General y Tª Literatura, Facultad de Filosof'a y Letras, Universidad de Alicante, Ap. Correos 99, 03080-Alicante
Tfno: (34 6) 5909389/5903417 , Fax: (34 6) 5903464 , C. elec.: Cifu@ua.es

Métalangage et terminologie linguistique, 14-16 mai 1998
colloque international organisé à Grenoble (France) par l'Université Stendhal-Grenoble 3.
Renseignements: Bernard Colombat, courriel Colombat@u-grenoble3.fr et Marie Savelli, Metagram, UFR des Sciences du langage, adresse personnelle: Domaine Saint Georges, 38410 Uriage, France. Tél.: (33.4) 76.89.09.20.

Informatisation et anticipations : entre promesses et réalisations, 10-12 juin 1998
11ème colloque européen en informatique et société organisé à Strasbourg (France) par le CREIS et le GERSULP.
Renseignements : secrétariat du colloque CREIS 98, UFR Informatique, Tour 55-65, Bureau 326, Université Paris VI, 4 place Jussieu, 75252 Paris Cedex.
Tél./Fax : 01.44.27.71.13
Tél. secrétariat : 01.44.27.58.77

Annie Marcheix

SommaireSites internet ...

Des statistiques linguistiques relatives à internet et sur les usagers,
http://www.euromktg.com/globstats/

Des études sur les usagers d'internet publiées régulièrement par la faculté d'informatique de l'université de Géorgie,
http://www.gvu.gatech.edu/user_surveys

Un glossaire en espagnol à propos du web "La web en 70 palabras",
http://ourworld.compuserve.com/homepages/JAMillan/glosario.htm

Annie Marcheix

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